Publié le 19 juin 2013 - Par Jerome Chouraqui

En souvenir de Daniel Sabatier – Livre d’Or

Daniel Sabatier, le fondateur du DESS ‘Droit et Administration de la Communication Audiovisuelle’ à Paris 1 a disparu le mardi 18 juin dernier. 

Il était le Président d’Honneur du médiaClub, son axiome de base.

Vous pourrez lui rendre un hommage en écrivant quelques lignes plus bas. Nous vous incitons surtout à écrire une anecdote, un souvenir souriant car nous reprendrons ces souvenirs pour en faire un petit livre. Ceux déposés mercredi 19 juin seront même distribués lors de la cérémonie des obsèques.

A vos claviers.

  • malochet christelle dit :

    Dany, toi qui a tant donné à tous ceux qui t’entouraient et surtout à nous, la « tribu du DESS » ! Merci pour tes leçons de vie, nous tâcherons de faire vivre tes pensées..;Nous ne pourrons jamais t’oublier . Condoléances et Amitiés à Edith, si dévouée.

  • Jean-Michel Garnier dit :

    Toutes mes condoléances à Edith et à la tribu du « DESS Sabatier » !
    Nous garderons l’image d’un homme bienveillant et d’une perspicacité formidable.
    Merci Daniel.

  • Ricard Francine dit :

    Merci a toi, homme visionnaire, multimédia avant l’heure et créateur d’avenirs … Des milliers de professionnels des médias te doivent beaucoup … Et moi la première ! Tu disais toujours qu’il fallait toujours avoir une longueur d’avance … Sur ce coup la , Daniel , tu l’as encore une fois ;-))

  • Funès Nathalie dit :

    Merci à Daniel, grâce à qui j’ai pu faire le métier dont je rêvais depuis mon adolescence…

  • Christopher Agustin dit :

    Depuis hier, je n’arrive pas à me rendre compte de l’annonce qui a été faite. Je ne puis imaginer que Daniel nous a quitté.
    Il y a tellement de souvenirs de lui, des après-midi passées dans son bureau, où nous discutions de tout et de rien, de sa manière très particulière de m’appeler (‘Agustin’! criait il dans les couloirs du DESS), de l’étonnement que j’ai eu la première fois où je l’ai découvert en chaussette dans ces mêmes couloirs du DESS.
    Et surtout, son regard rieur quand il m’avait raccompagné à la porte , après un combat face au dernier jury de sélection, où je ne m’étais pas démonté face à des hauts responsables d’une grande chaîne… un regard d’une jeunesse, d’une pétillance…
    Que dire d’autre? Que c’était un homme exceptionnel ; tous ceux qui l’on côtoyé le savent. Qu’il a créé la première véritable formation audiovisuelle ; c’est une évidence. Mais il a réussi bien davantage… Faire en sorte de créer une famille, dont chacun des membres pleure aujourd’hui sa disparition, et se trouve grandi de l’avoir connu.
    Merci Daniel

  • Foundoulis Anne Laure dit :

    Evidemment, c’est une perte, c’est la tristesse qui vient en premier mais Daniel c’était un grand homme plein d’humour, érudit, qui aimait les gens et les voyages. Il n’a jamais hésiter à nous faire partager ce qui était important pour lui, il a toujours été là quand nous avions des questions, des interrogations.
    Pendant mon année de DESS il me disait que je le calmais, je crois que notre promotion le rendait parfois chèvre. J’aimais beaucoup passer du temps avec lui à l’écouter
    Il va nous manquer.

  • DAVID Agnès dit :

    Daniel est la figure emblématique de notre DESS et restera à tout jamais dans nos cœurs d’étudiant.
    Lorsque j’ai passé l’examen d’entrée au DESS et que je cherchais mon nom sur le tableau des admissions à l’oral, je suis tombée sur Daniel qui m’a dit : vous êtes prise car vous êtes Alsacienne ! Ma femme est Alsacienne et ce sont des gens fiables ! C’était mon 1ier contact avec lui .

  • HERRMANN/Alec dit :

    Merci Daniel pour tes conseils, nombreux, toujours précieux, pour ta grande finesse et ton humanité. Merci pour ton véritable don à si bien comprendre et aimer les gens qui ont eu la chance de te connaître.

  • Couderc Claude dit :

    Il avait pour habitude de dire les choses. Ainsi, à la fin du DESS en 1985, il m’a dit en rigolant « toi, tu manques de rigueur, tu n’en fais qu’à ta tête, il faut que tu ailles dans un boite où tu apprendras la discipline ». Je suis allé dans une agence de pub pour pouvoir vivre mon refus du conformisme.
    Merci Daniel. Tu étais iconoclaste, inclassable, et très ouvert. Mes amitiés émues à Edith et à tous ses orphelins d’étudiants.

    Claude-Jean Couderc

  • Gourdon Viviane dit :

    Que de moments privilégiés en ta compagnie !
    Des échanges, du partage, de l’amitié : tout cela reste dans nos coeurs.
    Merci à toi le visionnaire, le détecteur de talents divers.
    C’est un immense bonheur de t’avoir connu et aimé.

  • Rodach Nathalie dit :

    Cher Daniel

    Je t’écris une dernière fois pour te dire toute on affection et ma nouvelle défection, une fois de plus je ne serais pas là avec toi. Nos routes se sont quittées il y a longtemps maintenant, de l’audiovisuel je n’ai pratiqué quasiment que les études, mais ta confiance et ta présence ont été au delà de nos mises en présence.

    Daniel je te souhaite un bon voyage dans l’au-del tu sais surement déjà que vcd n’est qu’un début et que la prochaine fois, certainement nos routes se croiseront encore. Tu m’as accompagné silencieusement depuis plus de 28 ans, tu continueras, je te donnerais des nouvelles et j’entendrais tes réponses.
    Va, Daniel, va, nous veillons sur ta mémoire.

  • Catherine Lebailly dit :

    Merci pour les opportunités, la présence, la générosité et la bienveillance prodiguées à chacun. Certes, nous irons de l’avant, mais tu vas nous manquer.

  • BRAUN Jacques dit :

    En souvenir de celui qui au delà des technologies avait une vision des médias qu’il a fait partager et éclore aux autres .Le Mediaclub le rendra toujours présent !

  • de Vivie Jean dit :

    « L’immobilisme est toujours plus dangereux que l’audace ». Un enseignement précieux de Maître Daniel dans un monde qui souffre par manque d’imprudence.

  • Alvart Laurence dit :

    Cher Daniel,
    Merci pour tout ce que tu as apporté à chacun d’entre nous.
    Merci pour ta gratitude.
    Merci pour tes conseils avisés.
    Merci pour tout.
    Oui c’est vrai tu as tellement raison il faut aller de l’avant.
    Mes plus sincères pensées et condoléances à Edith et ses proches.

  • Tricard Julien dit :

    Daniel,
    Je me souviendrai toujours que tu m’as laissé filer en Polynésie au lieu de passer mes examens, puisque c’était pour un stage, chose infiniment plus importante à tes yeux qu’un bête contrôle écrit. Tu avais raison, comme toujours: ce stage m’a permis d’avoir mon premier boulot et ce premier boulot d’en décrocher beaucoup d’autres par la suite…
    Daniel, merci d’avoir eu cette intuition formidable concernant les étudiants que nous étions: c’est la diversité de nos caractères, de nos formations d’origine, de nos conditions qui ferait la richesse de ton troisième cycle. Tu laisses derrière toi des centaine, peut-être des milliers d’enfants de tous âges et de tous horizons, dont je fais partie, qui sont plus riches et plus surs d’eux grâce à ta ténacité et à l’originalité de ta démarche, celle que tu as défendue et préservée bec et ongles contre tous ceux qui auraient bien aimé te faire entrer dans la norme.
    Bref, pour ta vision, pour ton soutien, pour ton recul, pour ton humour et surtout pour ton esprit de résistance face au conformisme,
    Merci

  • Emmanuelle BON dit :

    Tu nous manqueras Daniel, ton humanisme surtout, ton écoute, ta gentilesse, ta façon de voir la vie et cette éternelle jeunesse. Tu me disais il y a 20 ans que je finirais mariée et femme au foyer … bon … pas toujours visionnaire soit 😉 je regrette sincèrement de ne pas avoir eu l’occasion de te revoir. Merci de nous avoir donné à tous une direction en fonction de ce que tu décellais chez chacun d’entre nous. Je ne regrette pas une seconde la mienne. Repose toi bien désormais.

  • Durand / Elisabeth dit :

    Je n’oublierai pas le sermont de Daniel m’expliquant avant mon entrée au DESS que ce n’était pas une année de vacance supplémentaire. .. Plusieurs annnées plus tard, il m’a dit toute son admiration pour mon parcours et j’ai toujours beaucoup apprécié son immense sincérite et son énergie.
    Daniel , encore milles mercis pour tout.
    J’adresse toutes mes condoléances à son épouse.

  • Duigou Marielle dit :

    Beaucoup de tristesse aujourd’hui, mais beaucoup de souvenirs aussi … Daniel toujours plein d’énergie, de drôlerie et d’enthousiasme. Daniel était dans la vie et il nous a transmis sa passion de faire les choses. Sa question c’était toujours « alors, qu’est-ce-que tu veux faire ? », et à 24 ans c’était formidable d’entendre ça …
    Je suis heureuse d’avoir croisé son chemin.

  • Appenzeller Ingrid dit :

    Première promotion s’il en est, nous avions essuyé les plâtres (mais quels plâtres ! ) et tu m’avais convaincue de me faire couper les cheveux, moi qui les avons longs jusqu’aux reins !. Daniel, tu étais LA force de persuasion incarnée, sans parler de ta tchatche, de ton côté papa poule mâtiné de Zébulon, et de toute la chaleur méridionale que tu nous prodiguais… Grâce à toi, j’ai passé une année inoubliable ! Merci à toi et amitié éternelle. Ingrid (Violet) Appenzeller

  • Isabelle Chandler dit :

    Quelle chance Daniel de t’avoir rencontré ce mois de juillet 1991 dans ton bureau haut perché de la place des grands hommes. Tu sélectionnais la promo à venir. Tu as été pour moi un guide et un mentor. Tu as indiqué d’emblée à cette nouvelle promo combien il était important de savoir décrypter et de voir au delà. Nous sommes nombreux il me semble à ne pas avoir compris à cette époque la portée de tes paroles. Aujourd’hui nous sommes les orphelins d’un formidable passeur qui a imprimé à nos parcours et personnalités beaucoup plus encore que nous l’imaginons. Merci Daniel. Toutes mes affectueuses pensées Edith.

  • Ajzenberg Veronique dit :

    J’ai fait partie de la 2e promo du Dess et j’en garde encore des soyvenirs formidables. Ce diplome a existé grave à Daniel qui nous a transmis sa curiosité et son enthousiasme.
    Merci Daniel

  • FOUGOU dit :

    Daniel fait partie de ces être dotés d’une sensibilité hors du commun, d’une véritable appréhension de leur environnement et des évolutions de la société. Il a été pour des quantités d’étudiants dont je fais partie, un révélateur, un éclaireur, une personne qui vous emt le pied à l’étrier et vous accompagne. Universitaire dans sa quete d’ideal, entrepreneur dans son réalisme de l’économie de marché, RP dans ses prédispositions fabuleuses à la mise en relation. Altruiste et taquin, reveur et pourtant réaliste, il nous a guidé sur les chemins de la connaissance de soi et a su créer ce pont terriblement si manquant entre les études et la vie professionnelle. Merci à lui, merci à sa femme qui lui gardait les pieds sur terre, l’écoutait, le serenisait….merci à cette rencontre merveilleuse. Si tous ses étudiantsont suivi des parcours bien différents, il est une chose qui les réunit certainement c ‘est leur admiration pour un mentor généreux. Tu ne nous as pas quitté car tu as marqué ton passage et nous relaierons ton gout de l’entreaide…..

  • Yannick Bolloré dit :

    Avec mon plus amical souvenir,
    Yannick Bolloré

  • Rouchié Thomas dit :

    Siècle passé.Je gravis les escaliers boisés parisiens qui me mène à un premier entretien avec Daniel sabatier, l’homme qui permet de voir derrière l’écran. Emotion ou effort: mon coeur palpite. Une heure plus tard je dévale ces marches, léger comme une plume, ambitieux comme une jeune producteur et heureux surtout.
    Merci Daniel pour cette ouverture, cette fenêtre, ce travelling d’accompagnement. Tout est enregistré à jamais.

  • HACENE MYRIAM dit :

    Tous ceux qui ont eu la chance de rentrer dans la famille du DESS ont partagé des moments marquants auprès de Daniel Nous sommes tous un peu orphelins aujourd’hui, de celui qui nous a ouvert la voie vers nos métiers d’aujourd’hui, celui qui voulait déjà rapprocher la fac et le monde de l’entreprise, les études et les aventures humaines. Mes pensées affectueuses.

  • Janin/Sébastien dit :

    Daniel restera l’antonyme de la pensée unique.
    Toujours à prendre le contre-pied les idées simples et les raccourcis faciles, il reste une des rencontres les plus enrichissantes de ma vie.
    Sébastien

  • Di Nacera Philippe dit :

    Paris, juin 1989.
    – Pourquoi voulez-vous faire le DESS?
    – Euh…. Parce que…. Je rêve d’être journaliste….
    – Mauvaise réponse, ce n’est pas du tout ici qu’il faut postuler… Je vous prends! lisez ce livre sur les droits d’auteurs.
    Voilà comment, Danieĺ, ta bienveillance, ta générosité ont changé ma vie. Je suis triste et reconnaissant, comme tous « tes enfants », comme tu nous appelais. Tu nous as fait le plus beau des cadeaux, à l’aube de nos vies professionnelles. Pour cela merci. Éternellement merci.
    Je suis loin de Paris, mais serai uni vendredi à tous mes « frères et sœurs », grands ou petits.

  • Ryterband Bruno (1983) dit :

    Deux mots : chapeau et générosité
    Chapeau ! parce qu’il fallait oser en 1982, briser quelques codes universitaires et inventer ce cursus, à l’époque complètement atypique.
    Générosité parce que Daniel était, pour les étudiants du DESS, d’un dévouement désintéressé. Sans doute parce qu’il était un authentique humaniste.

  • TOUBKISS Yaël dit :

    Une personnalité, un visionnaire….il avait tout compris et avait mis en pratique avant les autres, avec foi et enthousiasme. Nous lui devons tous quelque chose, au moins d’appartenir au mythique « DESS Sabatier » (la véritable terminologie étant un peu lourde à prononcer d’une traite !).
    Merci d’avoir permis aux « petits » venus de nulle part de trouver aussi leur place dans ce métier.
    Toutes mes pensées vont aux proches de Daniel.

  • LARRIERE Elisa dit :

    Toutes mes condoléances à Edith et à la grande famille du DESS. Nous te devons beaucoup Daniel. Je me rappellerais longtemps de la formidable énergie et de la verve avec laquelle tu nous challengeais pour nous pousser sans cesse plus loin. Je crois pouvoir dire au nom de tous que tu as largement gagné ton pari. Un grand merci. Toutes mes pensées et mon amitié.

  • Caroline Collard dit :

    Daniel avait ce don précieux de voir chez l’autre ce qu’il ne savait pas encore sur lui-même. Don ou attention à l’autre… Au final son temps était toujours consacré à nous aider à avancer chacun sur notre chemin, nous, jeunes étudiants en devenir… Pour trouver du travail bien sûr, mais pas seulement… Au-delà d’une évidente tristesse aujourd’hui, je sais que j’ai eu de la chance de le rencontrer.

  • Vuchot Leslie dit :

    Un dernier mot à Monsieur Sabatier, que je n’ai jamais pu appeler Daniel! Un immense merci à ce grand monsieur. Ses conseils de vie et de gestion de carrière m’inspirent et me font aller de l’avant, depuis 10 ans maintenant. Très émue de perdre une si grande figure et des regrets de ne pas m’être plus manifestée. Je sais qu’il faut aller de l’avant alors nous allons de l’avant mais un immense merci pour sa confiance, sa vision, et mes amitiés plus que sincères à Edith – de la part d’une ancienne gardienne des chats.

  • LADOUSSE André dit :

    Daniel a toujours prétendu ne rien connaître à l’audiovisuel. Il se voyait en bureau de détection et de placement de ses étudiants. Pas terrible pour se faire une place personnelle au sein de l’institution universitaire. Mais inégalable pour le prestige du DESS et de ses étudiants dans le milieu professionnel.
    Dany, si tu n’avais pas existé, personne n’aurait pu t’inventer!
    A la revoyure!

  • Bogé Sophie dit :

    Ce n’était pas rien de créer le DESS dans une formule peu académique mais oh combien moderne , pragmatique et joyeuse !
    Merci Daniel pour cette institution qui perdure par son dynamisme et ses amitiés, les deux signes qui te caractérisent si bien.
    Cher Daniel , je garde de toi ton sourire et ton regard malicieux 🙂
    Je sais que de là-haut tu continueras à veiller sur nous tous
    Douces pensées

  • Fonnet/ Laurent dit :

    Mon premier souvenir de Daniel. Je voulais rencontrer le célèbre Professeur Sabatier, créateur du fameux DESS en juin 1992. Déjeuner sur la terrasse du club TF1, je tombe, bien sûr, sous le charme de ce personnage surprenant si éloigné de mon quotidien audiovisuel. Je suis très honoré de le présenter à Corinne Bouygues qui passe à côté de notre table, mais lui a du mal à se lever car, en catastrophe, il essaye de remettre ses chaussures, qu’en bon oriental il avait retiré sous la table pour être plus à son aise compte tenu de la chaleur …
    Merci encore pour tout ce qu’il m’a apporté et son regard.

  • Laurence Buisson dit :

    Pour Daniel, qui m’a ouvert les portes de mon secteur rêvé et surtout offert les plus grandes histoires d’amitié de ma vie!
    Merci à toi

  • Saint-Gilles Solène dit :

    Quelle tristesse de perdre notre deuxième papa.
    Ta générosité, Ton franc parler, Ton air malicieux, Ton non conformisme, Ton approche originale des médias, Tes précieux conseils, Ton talent à réunir des gens qui, sans toi, ne se seraient jamais rencontrés…
    Merci pour tout Daniel.

  • Sandrine Roustan dit :

    Visionnaire, incroyablement bienveillant, j’ai eu une chance inouïe de rencontrer Daniel, de faire partie de sa communauté et surtout j’en suis fière.
    Beaucoup d’émotion, toutes mes condoléances à ses proches et à nous tous.

  • Péchou Isabelle dit :

    Est-ce que ‘En haut’, ils pratiquent l’année zéro ? Ont-ils ‘des petites mains’ expertes en gardiennage de Pouchka ? Toi oui…On compte sur toi pour les prélever, niveau taxe d’apprentissage.
    Fière d’avoir partagé cette aventure avec toi et de t’avoir donné tort : la juriste n’a jamais travaillé dans le droit…têtue, c’était ton plus beau compliment.
    Tu vas pouvoir rattraper le temps perdu avec ton camarade Cloclo… merci Daniel.

  • Henri Bessières dit :

    Salut et respect Daniel ! Merci pour ta bienveillance et tous ces souvenirs qui perdurent près de trente ans après (1984). Une époque pleine d’insouciance et la découverte d’une improbable communauté de pensée au-delà du DESS. Respect aussi pour ton parcours – sacré souvenir que cette remise de la Légion d’honneur dans les grands salons de la Sorbonne plein à craquer !

    Avec mon meilleur souvenir et mes condoléances émues à Edith en ces moments difficiles.

  • Claire Charon dit :

    A Daniel nous devons cette idée géniale de passerelle entre le monde de l’université et celui de l’entreprise, plus particulièrement celui de l’audiovisuel. Je souhaite à l’université, et aux jeunes en général, de croiser sur leur chemin un personnage aussi enthousiaste, riche et investi pour ses étudiants. Merci Daniel. Je me considère comme privilégiée d’avoir croisé ton chemin, toi qui, par ailleurs, a parcouru le monde. Sois indulgent avec nous, d’où tu nous vois maintenant…
    Toutes mes pensées accompagnent Edith, sans qui cette aventure n’aurait pas été possible non plus.

  • Kathrin Hegenberger dit :

    J’avais demandé Daniel comment il avait choisi ses étudiants. Il a répondu: j’ai vous ai choisi selon je pouvais vous donner une place dans mon Coeur toute ma vie. Aujourd’hui je tiens à dire qu’il aura une place dans nos coeurs toutes nos vies! Merci Daniel!

  • Lombardini Donatella dit :

    Je ne faisais pas partie des « intimes » et n’ai pas vu Daniel depuis trop longtemps. Je n’ai appris sa maladie que l’annee passee et j’en ai ete fort attristee. J’ai eu le sentiment d’une tres mauvaise blague de la vie, qui immobilisait le corps d’un homme a defaut de pouvoir freiner son esprit, si vif, si petillant.

    L’anecdote qui me vient en tete lorsque je pense a Daniel remonte a 1993, lorsque me convocant dans son bureau, il me dit « Lombardini, est-ce que la distribution vous interesse ? » Je lui repondit que non, que je voulais faire de la production, car apres avoir goute a plusieurs des metiers de l’audiovisuel, cette branche m’attirait nettement plus que les autres. Il eu l’air embete, et prit quelques minutes, le nez en l’air et les mains croisees, avant de me repondre de sa voix si particuliere : « dans ce cas, vous n’aurez d’autre choix que de vous marier. C’est embetant, mais c’est ainsi. Dans cet univers, seule les femmes mariees ont un avenir. » Ce fut une claque, certes, mais egalement un message plein de bon sens. Apres quelques annees au service de la production audiovisuelle francaise, je me suis mariee, … mais pas a un producteur. Dans la foulee, j’ai egalement quitte l’audiovisuel. « C’est embetant, mais c’est ainsi ! »
    Adieu Daniel et MERCI pour ce pragmatisme, cet humour et cet avant-gardisme.

  • Alexandra North dit :

    Daniel, tu resteras pour moi une figure mythique… Je me souviens de ces rendez-vous chez toi rue des fossés saint-jacques pour faire le point, parler d’avenir. Tu me faisais traverser des rangées entières de livres, qui couvraient tous les murs (et que tu avais sûrement tous lus…). Et c’est là, dans ton bureau tout au bout, que tu écoutais avant de prononcer quelques paroles de sagesse prophétique qui me sont resté gravées. Merci pour tout !

  • Berkowitz / Richard dit :

    Daniel, tu nous as ouvert à tous, tes anciens élèves, les portes d’un monde qui étaient totalement fermées. Aujourd’hui et bien avant facebook, tu as créé une communauté, ceux qui ont fait ton DESS.
    Merci à toi.

  • LEVY HANA dit :

    Lorsque tu seras là-haut Daniel, ne demande surtout pas ton chemin, tu risquerais de ne pas te perdre ! (Cette phrase n’est pas de moi, elle est du Rabbi Nachman de Breslau… je suis sûre que tu l’aurais aimée). Je t’embrasse où que tu sois, tu vas nous manquer !
    Hana

  • Anne GASTAMBIDE dit :

    C’était en 1986. J’avais 39 ans, 2 enfants et avais repris des études après des années en entreprise. J’étais donc « un cas ». Daniel faisait passer les entretiens pour la rentrée d’octobre du DESS qu’il avait récemment créé. Il me demande si j’ai postulé pour d’autres DESS, ce qui était la coutume. Je lui réponds : « Non car c’est votre DESS que je veux intégrer ». Air interloqué de Daniel qui devait me trouver « culottée » et « gonflée » en même temps. Cela a dû quand même lui plaire puisque j’ai été admise… et ne l’ai pas regretté. Lui non plus j’espère.
    Sois en paix Daniel.

  • Auscher Sébastien dit :

    Daniel Sabatier, un nom qui restera à jamais graver dans notre mémoire, une légende de l’audiovisuel, un nom qui rime et qui rimera toujours avec notre parcours à tous. Condoléances à toute la famille Sabatier et courage pour ces moments difficiles.

  • Laure Poinsot dit :

    On aimerait que l’école, la fac, la vie professionnelle soient toujours pensées avec ce sens des réalités et des autres ainsi qu’avec ce plaisir de vivre que Daniel avait et savait si bien communiquer. Quand je traverse la place du Panthéon, parfois je pense à lui et je ne peux alors m’empêcher de sourire pour ses remarques et ses conseils directs et généreux qui continuent de m’accompagner dans cette drôle de vie de réalisatrice que j’ai choisie. Tu avais raison, c’est une vraie galère mais je crois m’amuser autant que tu t’es toi-même amusé. Laure Poinsot (promo 1989-90)

  • Lipszyc Emmanuel dit :

    Juste une boutade de Daniel sur les écoles de commerce qui me revient souvent :
    « Le commerce, c’est acheter pas cher et revendre cher.
    Pas besoin de passer 5 ans dans une Ecole pour apprendre ça! »
    Une des plus grandes leçons qu’on m’ait donnée

  • Pierre-François Decouflé dit :

    « Sans doute ne connaissons-nous de la personnalité d’autrui que les remous de surface, et ne pouvons-nous jamais pénétrer dans les grands fonds »… extrait du Quatuor d’Alexandrie, Lawrence Durrell.

  • Jeanclaude Stéphanie dit :

    Merci à Daniel pour tous ses témoignages d’intérêt et d’affection. Son écoute et son aide m’ont permis d’avancer à une période assez douloureuse de ma vie. Il aura toujours une place privilégiée dans mon coeur. Toutes mes condoléances à sa famille.

  • Bruno Baccheschi dit :

    Daniel,
    Tout simplement merci.
    Merci pour ta main tendue qui changea mes chemins.
    Merci pour ton cœur qui savait nous  écouter et nous comprendre.
    Merci pour ton regard perspicace qui devinait avant nous-mêmes nos potentialités. 
    Merci pour toute cette humanité, généreuse, ouverte et toujours tournée vers l’autre. 
    Elle est désormais tournée vers l’Ailleurs. A ta nouvelle liberté, toi le libre penseur.

  • Laurent Robert Thibierge dit :

    Merci Daniel, qui m’a tendu la main et fait confiance, comme il l’a fait pour tant d’autres.
    Etre étudiant puis chargé de cours au DESS a été pour moi un honneur.
    Les cours, les échanges, les contacts, l’esprit de corps, les anecdotes, les jurys, tout cela me revient en mémoire à travers le souvenir du regard pétillant et de la générosité sans faille de Daniel.
    Qu’il repose en paix.

  • Saget Laure dit :

    Daniel, tu nous laisse tous un peu orphelins, renvoyés d’office à la nostalgie de cette anné foutraque et riche ! La promo 95 avait failli exploser en plein vol, une mutinerie se fomentait ! Tu nous a appris la gestion de crise en appelant à tes côtés un « ancien » (pourtant encore très jeune !) comme juge de paix, et nous avions tous ensemble resigné un nouveau pacte ! Quelle leçon de management !
    C’est ce beau sourire en coin qui nous restera ! Très affectueusement

  • Claire Charon dit :

    A Daniel nous devons cette idée géniale de passerelle entre le monde de l’université et le monde du travail, notamment celui de l’audiovisuel. Je souhaite à tout étudiant de rencontrer sur son parcours un personnage aussi riche, enthousiaste et investi pour ses étudiants. Merci Daniel. Je me considère comme privilégiée d’avoir croisé ton chemin, toi qui par ailleurs, parcourais le monde… Sois indulgent avec nous, d’où tu nous vois aujourd’hui .
    Merci également à vous, Edith, sans qui cette aventure n’aurait pas été possible. Toutes mes pensées les plus chaleureuses vous accompagnent.

  • DHAINAUT Caroline dit :

    Ce n’était pas le DESS de droit et administration audiovisuelle, mais le DESS DE DANIEL SABATIER, ce qui veut tout dire, c’était sa vision qui était mise en avant de l’enseignement! quand j’ai été admise c’était pour moi un grand moment, et puis le premier jour de cours j’ai trouvé curieux d’être la seule brune, toutes les autres filles étaient blondes aux yeux bleu!!!! merci Daniel d’avoir toujours était là de ton soutien. Je ne t’oublierai pas, tu vas nous manquer, Caroline Dhainaut

  • Ouaiss Sandra dit :

    Je t’entends encore Cher Daniel, me dire « Ouh la la , Zalat (mon nom de jeune fille) , tu es trop grande… « . Je n’ai pas utilisé ma taille dans ma carrière mais bon nombre de tes conseils et de tes leçons de vie.
    Tu vas me manquer , tu vas NOUS manquer …. Merci d’avoir été un être à part , dans un monde qui n’aime que le formatage ….
    Toutes mes pensées et mon amitié à Edith.

  • BENMUSSA JEDYNAK dit :

    Daniel, j’ai le souvenir de ce fameux entretien d’entrée où vous m’avez demandé si je comptais faire le DESS et devenir mère au foyer comme ma cousine Sandra ! Votre perspicacité avait comme toujours su percevoir mes aspirations profondes puisque votre prophétie s’est réalisée ! Il n’empêche que vous avez été une lumière protectrice et bienveillante tout au long de mon parcours et que je garde précieusement dans mon coeur et à l’esprit tous vos conseils avisés. Merci Daniel et toutes mes condoléances à Edith et à tous ses « enfants » du DESS.

  • Sabrina BENMUSSA JEDYNAK dit :

    Daniel, j’ai le souvenir de ce fameux entretien d’entrée où vous m’avez demandé si je comptais faire le DESS et devenir mère au foyer comme ma cousine Sandra ! Votre perspicacité avait comme toujours su percevoir mes aspirations profondes puisque votre prophétie s’est réalisée ! Il n’empêche que vous avez été une lumière protectrice et bienveillante tout au long de mon parcours et que je garde précieusement dans mon coeur et à l’esprit tous vos conseils avisés. Merci Daniel et toutes mes condoléances à Edith et à tous ses “enfants” du DESS

  • de Franceschi Emmanuel dit :

    Au printemps 2001, en recherche d’un stage, Daniel m’a dit – presqu’avec nonchalance – d’appeler un producteur de sa part. Alors qu’un an plus tôt, personne ne répondait à mes sollicitations, j’ai obtenu un rendez-vous sur un simple coup de fil. J’en suis sorti avec un stage (c’était trop beau, presque trop facile). Puis j’ai été engagé. Douze ans plus tard, je suis toujours dans le secteur, j’en suis très heureux et très reconnaissant ! Daniel, c’était une sorte de grand manitou bienveillant, une personnalité rassurante qui vous suivait bien après vous avoir mis le pied à l’étrier. Merci Daniel !

  • Pedroia Albino dit :

    Daniel m’a appris les « règles » non écrites (et que personnes n’écrira jamais) pour vivre avec les autres.
    Sur les dizaines de « règles » j’en retiens une: « en toutes circonstances, ne jamais décider sur la base d’une idéologie, d’un dogme ou d’un courant de pensée, mais uniquement en fonction de sa propre conviction, conviction fondée sur les informations collectées et analysées ».
    En perdant Daniel je perds beaucoup plus qu’un ami très cher, je perds mon guide, qui depuis plus de 30 ans, patiemment et régulièrement, me racontait de belles histoires.

    Albino Pedroia

  • Congé Marie dit :

    Merci pour ton sourire, ton énergie, ta perspicacité, tes conseils avisés, ta bienveillance.
    Tu resteras dans nos cœurs.

  • Dolivet Laurence dit :

    Dany,l’un des types les plus drôles et les plus intelligents que j’ai croisé jusqu’à ce jour, une intuition et une curiosité incroyable…et le plaisir d’être accueillie même 20 ans plus tard avec chaleur et émotion « ah les soeurs Dolivet comme vous avez grandies ! »
    Merci Daniel pour cette année charnière de ma vie, pour tous ces liens que tu as su construire et entretenir

  • Hagege Mickael dit :

    Au revoir Daniel,
    Ce fut un honneur d’apprendre à tes côtés.
    Je souhaite longue vie au Media Club qui te représente désormais sur Terre.
    Je suis fier d’en faire partie.

    Mickael Hagege – Promo 2000

  • Céline Stierlé dit :

    Cher Daniel,

    Un jour vous m’avez dit « Toi cocotte ne fais pas le DESS… »
    J’ai insisté, argumenté, plaidé ma cause, sans savoir que j’étais en fait en train de passer l’oral d’admission. Vous aviez enlevé vos chaussures et j’étais hypnotisée par vos chaussettes bleues.

    Un jour vous m’avez dit « Toi cocotte tu dois faire du lobbying… »
    J’ai dit « non », vous m’avez dit « si », j’ai dit « on verra », vous m’avez répondu « TU verras ! ». J’ai vu… c’était en 2001, vous aviez juste 8 ans d’avance sur mon parcours.

    Merci pour votre intuition, pour votre soutien envers et contre tout, pour cette magie que vous réussissiez à créer au sein d’une promo, avec des gens différents et pourtant animés d’une même passion. Je vous dois beaucoup d’amitiés qui perdurent encore aujourd’hui. Je suis fière d’avoir fait partie de vos « derniers enfants »…

    Edith, je pense à vous. Avec toute mon affection.

  • pelosse collombel christine dit :

    Merci pour tout ce que tu nous as apporté au point de vue personnel mais aussi au marché audiovisuel, en formant des centaines voire des milliers de pro. Tu peut être fier de toi, d’Edith et de ta tribu !

  • Anne ROBERT dit :

    Bon voyage à celui qui a compris avant tant d’autres que la fac devait préparer à la vraie vie. il l’a fait de façon flamboyante. Et je crois qu’il aimait ses élèves et voulait les voir heureux. Il allait très au delà du job.

    Merci.

  • Rey Nadine dit :

    Notre monde a tant besoin d’imaginaire créateur et d’hommes capables d’avancer vers leurs rêves et de les mettre en forme. Daniel était de ceux-là, bousculant pour tracer son sillon, les idées pré-conçues, fausses croyances et rigidités passéistes.Nous étions quelques-uns, en l’année de création du DESS, à le suivre dans l’aventure, pelles et truelles en mains pour essuyer les plâtres. Une grande bouffée d’air dans un parcours universitaire classique et compassé, des rires, de la responsabilité, des rencontres, du cinéma… la Vie.
    Daniel aura réussi le plus beau des projets, accompagner la route des rêveurs patentés ou dévier les trajectoires de ceux qui n’espéraient pas assez.
    Utopia vaincra ! A sa manière, il l’a démontré. Merci

  • Stéphane Zajdenweber dit :

    Tu as été et tu resteras un visionnaire.
    Merci d’avoir créé ce bel outil et cette grande famille.
    Nous sommes nombreux à devoir beaucoup à ta perspicacité et ta ténacité.
    Je suis heureux que tu aies été là dans ma vie à ce moment.
    Il est des gens que l’on n’oublie jamais…

  • DETRAUX-GILBERT Elodie dit :

    Cher Daniel,

    Ta bienveillance et ton intuition implacable auront été un soutien à toute épreuve.
    A chaque montagne que je gravis… je pense à l’honneur que tu m’as fait en m’intégrant dans « ton » DESS et je ne lache rien…Merci

  • Lone Le Floch-Andersen (Promo 1992) dit :

    Nous voilà hélas orphelins de Daniel et aussi, et surtout, les heureux dépositaires d’un bel héritage de valeurs, visions et liens humains partagés au sein du tribu du DESS. Toutes mes condoléances à ses proches.

  • de Luppé charlotte dit :

    Daniel m’avait reçu quelques années après mon passage au DESS pour me donner quelques conseils :
    « Luppé, bon, tu t’es mariée, c’est bien, maintenant tu prends l’argent de ton mari et tu montes ta boîte ».
    Je n’ai pas monté ma boîte, mais grâce à Daniel j’ai poursuivi dans la voie qui me plaisait, le documentaire, et je fais aujourd’hui exactement ce que je voulais faire, la documentation. Pas vraiment dans les arcanes du pouvoir, mais au plus près de l’Histoire et des histoires…..
    merci

  • LAMOTTE Jean-Baptiste dit :

    Un très grand MERCI pour un grand HOMME auprès de qui j’ai pris énormément de plaisir à suivre ma dernière année universitaire (promotion 2001-2002). Que de bons souvenirs partagés ensemble, entre étudiants et professeurs et avec tous ces professionnels d’exception venus nous rencontrer, à l’invitation de Daniel. Et puis je me souviens du traditionnel week-end d’intégration (dans le Morvan pour notre promotion dans une sorte de VVF loin de tout et quasi abandonné !). Et puis il y avait ce chat aussi qu’il fallait régulièrement garder à l’occasion…
    Je garderai de Daniel l’image d’un immense professionnel, une figure paternelle qui aura accompagné chacun de ses étudiants sans jamais les lâcher, s’obstinant à les voir vivre leurs rêves.
    Mes pensées vont aujourd’hui à son épouse Edith, sa famille et ses proches, à Jérôme ainsi qu’à toutes celles et ceux qui ont eu le bonheur de croiser son chemin. Au revoir Daniel,

  • Jérôme Dutoit dit :

    Daniel, ce que nous a transmis est bien vivant.
    Je pense à ton état d’esprit, ton enthousiasme, à cette capacité à ne jamais dire non par principe … (nous l’avons appliqué à la lettre … lorsque tu nous as demandé de repeindre le local du DESS, et cela reste un des excellents souvenirs).
    Le groupe que tu as formé en 1993 est toujours humainement aussi proche 20 ans après. C’est inestimable et peu d’hommes pourraient se prévaloir d’avoir bâti cela.
    Merci pour tout !

  • Lacassagne Nicolas dit :

    Nous venons de perdre le seul directeur de DESS qui punissait encore ses élèves déjà mûrs en leur faisant repeindre les salles de cours du Panthéon. Bon repos Daniel, vous nous manquerez et nous continuerons de penser à vous. C’était bien là le « système Sabatier », hors normes mais qui faisait aussi que la sauce prenait.

    Toutes mes condoléances à Edith.

  • Claire Germouty dit :

    Cher Daniel,

    Merci pour tout ce que tu as su comprendre avant les autres. Et merci de m’avoir embarquée dans ton DESS. Un vrai concentré de l’esprit français, avec 30 ans d’avance sur le reste de l’Université ! 😉

    Je me souviens avoir été recrutée d’office juste avant la rentrée pour assurer la liaison entre cette promo dont je ne connaissais rien et toi. Pourquoi? « Parce que tu habites tout près de chez moi et que tu n’y connais rien à rien! » CQFD. J’ai pris avec toi mes premières leçons de politique… Qui me permettent aujourd’hui de choisir plus vite le moyen d’inciter quelqu’un à me faire des confidences ! 😉

    Tu disais : « Alors, celui-là, je le prends à cause de son nom de famille… Le neveu d’un ministre, tu comprends? Et celle-là, regarde, son père est préfet, ça peut nous servir… Tiens, il y en a deux, cette année… En plus, elles sont jolies. Ce sera une grande promo ! Quant à celui-là, il vient de l’ESSEC, c’est parfait. Et puis son père est réalisateur ! Et puis celui-là, il vient de banlieue, ce sera pour la mixité sociale, c’est important pour la suite ! Quant à celle-là, elle est bilingue, regarde, elle a vécu aux US. Et puis quelqu’un m’a passé un coup de fil pour qu’on la prenne. Ah, vous devriez tous être bilingues, bon sang ! Partez, mes enfants, partez très loin, il faut découvrir le monde… Mais si on vous propose un stage dans une chaîne de télé, vous le prenez direct, pas de blague !  »

    Reçois toutes mes amitiés, et merci à Edith pour sa patience et sa présence bienveillante !

  • Roland Olivia dit :

    Il y des êtres qui vous marquent plus que d’autres, et Daniel était de ceux là. Avec son débit rapide, ses idées qui l’étaient tout autant et sa liberté de penser la Fac autrement, il m’a accueillie dans son DESS pour un couronnement. Enfin mes études me semblaient dynamiques, un peu à l’ « anglosaxonne », dépoussiérées, et la passerelle vers le monde du travail plus prometteuse. Ambiance quasi familiale, en tous les cas ultra chaleureuse. Merci Daniel de nous avoir ouvert le chemin… Des pensées à Edith, toujours dans son sillage, souriante et bienveillante elle aussi. Farewell mr Director. Olivia

  • Julie Weiner dit :

    Daniel Sabatier changed my life by accepting me into the DESS program. My
    career and my friendships would be entirely different if it weren’t for his
    generosity. I will always remember and celebrate the life of Daniel
    Sabatier, and am very sorry I cannot be there for his funeral. With love
    from the United States,

  • Florence Chalom dit :

    Cher Daniel,
    c’est grâce à vous et à l’admiration que nous vous portions que Philippe Marcoux et moi même avons osé monter un Master de Production. Vous nous avez donné l’amour de ce métier et le désir de le transmettre. Merci pour tout ça.

  • Mignan Denis dit :

    Daniel s’inquiétait souvent de savoir qui pouvait détenir les clefs du local où nos enseignements se déroulaient à l’époque (une salle en rez-de-chaussée, donnant sur la cour arrière de la faculté). J’ai compris plus tard la symbolique de sa demande : chacun devait à un moment donné la détenir, preuve du partage, de l’investissement et des responsabilités de chacun. Cela restera toujours dans mon esprit.

  • MARIANI ISABELLE dit :

    Mon cher Daniel, Mon cher Dany, je vais me permettre de te faire une confidence: tu es parti dans l’ailleurs mardi dernier et j’ai du mal à le croire. Je ne suis pas triste, moi qui crois à la vie éternelle (nous nous retrouverons vois-tu), je suis juste incrédule. Je dois aussi t’avouer que je ne t’ai pas vu vieillir. Tu as toujours été le plus jeune, le plus enthousiaste, le plus imaginatif, le plus combatif, le plus vibrionnant, le plus…, le plus…, le plus… Adorable Dany, tu étais juste le meilleur d’entre nous. Comment te remercier pour tout ce que nous te devons? C’est grâce à toi, grâce au fameux DESS qui avait fini par porter ton nom (le légendaire DESS SABATIER), que nous sommes ce que nous avons voulu être, des femmes et des hommes au destin choisi en exerçant les métiers qui nous faisaint rêver enfants. Tu as désormais retrouvé ta chère lumière alexandrine pour l’éternité. Pour paraphraser Saint Augustin, je dirais que nous ne pleurons pas puisque nous t’aimons.1000 bises par-delà les nuages. Isabelle Mariani

  • Brauns Sylvie dit :

    Il n’a rien dit, je n’ai rien dit, mais on s’aimait tant !
    Ta brownie, toi qui m’as nommée ainsi le premier, et qui es près de moi pour toujours

  • Géraldine Gendre dit :

    Quelle chance de t’avoir rencontré ! Ton intelligence, ta bienveillance et ta confiance nous ont tellement guidé. Nous voilà tous orphelins … Pensées émues pour Edith.
    PS : Promis je range ma salopette !

  • Schouler Angelika dit :

    Daniel, tu m’as ouvert la porte au formidable réseau des médias en France en m’acceptant dans tes fameux cours de soir, encore une originalité dont tu avais le don dans cet univers académique et tu m’as accompagnée comme tant d’autres avec tes précieux conseils et ta bienveillance et générosité qui t’ont charactérisés. Merci encore, Tu vas nous manquer terriblement.
    Toutes mes condoléances à ta chère épouse Edith, toujours présente à tes côtés.

  • Villette Sophie dit :

    3ème année de promo , j’ai connu les touts débuts de cette formidable aventure.toujours en fond de classe, un des éléments permutateurs du DESS je l’avoue… tu aimais les fortes têtes mais pas de cadeaux… le jour des résultats de nos exams de fin d’année, tu m’appelles à 6h30 du matin et avec ta franchise déconcertante, toi tu m’as fait ch..toute l’année mais je le savais… tu as eu la meilleure note en droits d’auteurs, cela a été un vrai moment de bonheur partagé, regagner un peu l’estime de DanieL..puis j’ai embarqué Edith dans des show rooms de couturiers chez qui je travaillais, être habillé par le couturier d’Agathe Godard et de Caroline de Monac, je crois que définitivement Daniel a définitivement fini de me prendre au sérieux. Je tacherai de continuer à lui rester fidèle, le lui envoie mes plus tendres baisers où qu’il soit ainsi qu’à Edith. Sophie

  • DAUVIN Pauline dit :

    Daniel, je me souviens de notre premier entretien un soir d’août dans ton appartement, tu étais incisif et drôle, déjà très philosophe. Je t’ai demandé quelles étaient les qualités requises pour ton D.E.S.S, tu m’as répondu : « savoir lire et écrire, après chacun fera sa différence ». Je garderai ton souvenir, celui d’un homme cher à ce monde, à son monde.

  • Congal Sophie dit :

    Bienveillance & générosité, intelligence vive et curieuse …

    J’ai un souvenir très fort de cette discussion sur le trottoir, devant le Panthéon, après l’entretien de « recrutement »… Une telle foi dans les autres, je n’avais jamais connu cela.
    Merci, cela m’a aidé, au-delà même du DESS.

    Repose en paix.

  • Gringarten, Virginie dit :

    Daniel, quand j’ai voulu faire le DESS la première fois, vous m’avez dit de revenir après avoir fait des stages en audiovisuel.
    Je vous ai dit que je ne connaissais personne alors vous avez pris votre téléphone et appelé Serge Bromberg de Lobster Films. J’y suis restée de nombreux mois et c’était difficile d’en partir tellement c’était bien. Quand j’ai ensuite cherché un travail, vous m’avez tendu un fax qui venait d’arriver sur lequel figurait une offre et m’avez dit « tiens postule ». C’était chez Ubisoft et j’y suis encore ! Vous avez donc complètement marqué ma vie ces 16 dernières années. Le temps passe vite et la nouvelle de votre départ est tombée comme un couperet. Cela faisait depuis la soirée en votre honneur en 2009 qu’on ne s’était pas revu. Je pensais souvent à vous, ce que vous deveniez et espérais qu’on pourrait encore discuter bientôt. Merci Daniel pour vos précieux conseils et votre perspicacité. Reposez en paix et veillez sur nous tous.

  • Olivier Gers dit :

    Daniel
    Merci de ton enthouiasme et de ta dedication a notre succes professionel et notre epanouissement personel.
    En regrettant que la vie ne m’ait pas permis de passer te voir plus souvent a Paris. Avec toute mon amitie…

  • Hallier Alexandre dit :

    Merci pour tout Daniel. Tu auras créé et réuni tant de vocations et d’entreprises. L’université et l’audiovisuel te doivent beaucoup.

  • michelin / alexandre dit :

    Un aphorisme de Daniel qui me revient .

    « Même si tu à l’impression d’avoir perdu tu n’as jamais vraiment perdu si tu as APPRIS quelque chose !

    Tu as gagné car tu as appris quelque chose qui te sera utile pour tes batailles futures ….

  • Gringarten, Virginie dit :

    J’ai retrouvé les vœux de Daniel pour notre promo qu’il nous a envoyés le 16 janvier 2006. Je les copie colle tel quel – avec les « 1 » à la place des apostrophes :
    :
    « Envoyer une page blanche, c¹est donner l¹état exact des émotions qu¹on veut transmettre, mais c¹est un casse-tête pour le destinataire ; Aligner des mots usés, rapiécés, étriqués, c¹est écrire des banalités du genre Bonne et heureuse année ; Mais c¹est plus efficace et cela a l¹avantage d¹être passe-partout. Si l¹on veut être stakhanoviste on peut écrire

    bonne année pour 2006 et 2007

    Daniel Sabatier »

    Je t’avais justement écrit « Bonne Année », mais j’y avais mis beaucoup de couleurs. Ca compte ça non? :)Merci Daniel.

  • Sarfati Anne dit :

    Mon Cher Daniel,
    Comme a tant d’autres tu as transforme ma vie! apres avoir lu les messages qui ont suivi cette mauvaise nouvelle j’ai compris ce qu’etait ta principale force: traiter chacun comme s’il etait unique!

    Tu as ete un guide, un inspirateur , un pere.

    L’annee passee a tes cotes en tant que chauffeur, secretaire, cuisiniere parfois, tete de turc, paravent, nourrisseuse de chats et j’en passe a ete l’une des meilleures annees de ma vie.

    Je me souviendrai toujours de la maniere dont tu reflechissais: l’index, le majeur et le pouce grattant ton nez en mouvements circulaires! cela m’a toujours fait rire.

    Tu m’as toujours dit de celebrer les fetes juives pour toi car toi tu n’y croyais plus! je l’ai toujours fait et continuerai a le faire!

    Les gens comme toi ne partent jamais~ tu me manquais deja, tu me manqueras encore plus!
    Toutes mes condoleances a Edith

  • Karine Leyzin dit :

    Très Cher Daniel
    Tous tes amis et fidèles élèves t’accompagnent dans ton dernier voyage.
    Puisse t-il être aussi beau que ton Alexandrie chérie et aussi paisible que les rives du Nil.

    J imagine déjà ton sourire de la haut, quand tous tes enfants multiplieront bonheurs, erreurs et succès…car tu nous a fait grandir…toutes ces années, veillant sur nous comme un père.
    Sous ton regard, toujours bienveillant et malicieux, tu nous a rendu heureux.

    Tu nous as « déniaisés » aussi, tu nous le disais souvent!
    Et Quel précieux cadeau dans la vie : tu nous a as appris a rêver les yeux ouverts, car avec toi tout était possible. Et tu avais raison!

    Alors je t imagine en paix : tu as dispensé tant de bonheur autour de toi, initié tant de belles rencontres et d’amitiés fortes, forgé tant de vocations, plusieurs générations, participé grandement a la mutation de notre société et des médias, même si tu prétendais n y rien comprendre, …tu as même été un grand père symbolique pour bon nombre de tes élèves et plus que ta santé ne te l’aurait jamais permis 😉 ! Quel talent, chapeau l’artiste! Te rencontrer fut une chance pour nous tous.

    Tu vas ns manquer
    On veillera tous sur Edith, on t embrasse très fort

    Merci pour tout Daniel

  • Marie Dewavrin dit :

    Beaucoup d’émotion en lisant le mail de Jérôme hier soir.
    Daniel nous aura tous marqués, nous poussant dans nos retranchements et nous conduisant à donner le meilleur de nous-même et à puiser au fond de nous pour trouver nos ressources les plus intimes.
    Je ne pourrai venir à la cérémonie mais mes pensées accompagnent Daniel et son épouse.
    Bien amicalement

  • Bertrand Adeline dit :

    Daniel, grâce à toi, nous sommes nombreux à nous sentir juifs égyptiens. Adieu.

  • André Ladousse dit :

    Daniel, ton exemple et son credo (priorité aux étudiants) m’inspirent dans l’enseignement que je donne.

  • Henri Debeurme dit :

    Une grande tristesse. Daniel faisait partie de ces gens qui vous rendent meilleur et vous poussent vers l’avant. Sa rencontre a été un tournant dans ma vie. Je ne le remercierais jamais assez. Merci Jérôme d’entretenir aussi bien ce qu’il a construit. Toutes mes pensées à toi et évidemment à Edith et tous ses proches.

  • Laurent Fonnet dit :

    Daniel nous a tant appris et donné avec cet air de ne jamais y toucher.
    Il était visionnaire et le secteur audiovisuel français ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui sans lui alors qu’il n’en faisait pas partie formellement.
    Personnellement je n’aurai jamais entrepris ni soutenu ma thèse de Doctorat et je n’aurai pas organiser ce cours qui m’a donné tant de joies.
    Un grand homme a toujours auprès de lui une grande dame et Édith l’a soutenu, ô combien, dans sa quête.
    Les dîners chez eux étaient toujours passionnants et y rencontrer tant de gens qui ne connaissaient rien à la télé nous aidaient à prendre du recul.
    Il nous manquera mais nous essayerons de faire perdurer ses valeurs et nous ne l’oublierons pas
    Avec mon profond respect et mon affection.
    Géraldine se joint à moi.

  • Ariane Seta dit :

    Daniel était un homme passionné et enthousiaste qui a réussi à faire partager son amour pour l’histoire et l’éclectisme.
    Il nous a beaucoup apporté, mais aussi à tout l’enseignement et certainement à des centaines d’étudiants.
    Nous sommes aujourd’hui grâce à lui une famille. Nous lui en serons toujours reconnaissants.
    Nous pensons très fort à lui et à Edith.

  • Zsofia Varnai-Fleurantin et Pierre-Emmanuel Fleurantin dit :

    Merci Daniel pour tout ce que tu nous as apporté, professionnellement et humainement.
    C’est grâce à toi et au DESS que nous nous sommes rencontrés.

  • Olivier Fox dit :

    Merci pour tout, Daniel.

  • Anne Pezet dit :

    Merci de m’avoir toujours accompagnée dans mes envies, mes choix.
    Aujourd’hui, mes pensées vous accompagnent.

  • Julie Boucher dit :

    Non seulement Daniel m’a donné confiance en moi et a consacré du temps à me redonner du souffle, à voir plus loin autour de moi et en moi. Précieux et inoubliables échanges.

  • Renaud Velin dit :

    “Jacques Renaud disait : partir c’est mourir un peu. Poursuivre le voyage c’est peut-être ressusciter. Le vrai voyageur, c’est celui qui jamais ne tente de revenir en arrière… Bon voyage, mon cher Daniel.”

  • Frédérique Refalo dit :

    Daniel, c’est émouvant de se rappeler notre première rencontre, tu m’as traité de poussin sorti de son œuf et après tout ce temps je t’en remercie tellement
    Mon hommage est de te dire que toute ton énergie a été communicative pour l’ensemble des génération d’étudiants que tu as cotoyé
    Tu laisses une belle œuvre, à nous de la poursuivre avec la même conviction.

  • Carole Rousseau dit :

    Très cher Daniel,

    Que ce nouveau voyage soit aussi riche que tous ceux que vous avez adoré faire.
    Prenez soin d’Edith d’où vous serez.
    MERCI pour ce que vous avez fait pour moi, … pour nous.

  • notebaert nathalie dit :

    je suis bien triste d’apprendre cette nouvelle.
    je n’ai malheureusement connu Monsieur Daniel Sabatier qu’à travers sa réputation.
    Je l’aurais vraiment aimé car je me retrouve tellement dans ses valeurs et dans son caractère anticonformiste, dynamique, créatif,émotif, bohême, attachant, rêveur, courageux.
    Amicalement,
    Nathalie

  • Sonia Aragones dit :

    Tous les mots que je trouverais ne seront de toutes façons pas à la hauteur de ce que Daniel pouvait représenter dans nos vies.
    Même si je l’ai peu connu, je peux dire aujourd’hui que je lui dois tout (phrase paradoxal mais tellement vraie ….).

  • Sylvain Thibon dit :

    Daniel aura été un acteur essentiel dans la recomposition sociale, managériale, de l’audiovisuel en France pendant ces trente dernières années.

    Toute ma reconnaissance de nous avoir permis de partager un socle de valeurs essentielles qui continuent de nous animer. Ce qu’il a construit perdurera encore longtemps et nous ne serons jamais assez reconnaissant de ce qu’il nous a permis de vivre individuellement ou collectivement.

  • Philippe et Laurence Boyer dit :

    Philippe et moi étions très attachés à Daniel. Il est la genèse de notre histoire, de notre famille, nous ne pourrons l’oublier…
    Nous lui avons donné trois « petits-enfants ».
    Les bons souvenirs sont nombreux, ses écrits précieusement conservés, nos pensées pour lui systématiques quand nous passons devant le Panthéon…

    Il restera dans notre coeur.

  • Jean-Sébastien Petitdemange dit :

    Que dire que vous ne pensiez dejà !
    Daniel était de ces hommes bons, généreux, humaniste, cultivé, drôle…
    Il était surtout un découvreur de talent. Et nous en sommes tous les témoins.
    Il ne nous a pas fait ! il nous a découvert, révélé, aidé.
    Il nous a donné une chance incroyable.
    Et personnellement, je goute cette chance quotidiennement.
    Le MediaClub est son héritage, nous sommes maintenant autour de toi Jérôme les gardiens de cette mémoire et surtout de son projet.
    Je suis triste.
    Je pense à Edith.
    Je pense à vous, je pense à nous.
    Et je me dis qu’en plus de 20 ans je n’ai jamais réussi à la tutoyer !

  • Catherine Lebailly dit :

    Avec toute ma reconnaissance et mon affection sincère.

  • Arnaud de Fontenay dit :

    Cher Daniel,
    C’est à toi que je dois mon premier stage d’étudiant: 4 mois à New-York chez ton pote Richard Lorber. Inoubliable à 26 ans!
    C’est à toi que je dois mon premier CDI, après ton coup de fil pour me recommander (m’ordonner!) d’appeler une productrice en plein recrutement. Royal à 27 ans!
    C’est à toi que je dois tant de contacts. Ma promo, et puis, petit à petit, ceux de la promo d’avant, et ensuite, ceux de la promo d’après. Aujourd’hui tous ces contacts se sont transformés en amitiés.
    Pour tout ça, Merci.
    Et pour tout ça, Bravo. Car, au delà d’une formation universitaire, tu as créé une marque: « Le DESS de Sabatier ».
    Avec ceux qui l’ont fait – heureux. Et ceux qui ne l’ont pas fait – envieux. Aujourd’hui notre plus gros concurrent sur les postes de l’audiovisuel, ce sont les HEC. Pas mal comme voisins de palier!
    Continue de là haut à nous filer tes conseils. Mais je n’ai pas besoin de te le souffler, tu ne pourras pas t’en empêcher!

  • Mercedes Perez-Desoy dit :

    Pour Daniel, mon cher professeur, le plus curieux, le plus libre, le plus étonnant, le plus attachant et le plus généreux, celui qui m’ouvrit les portes de la Sorbonne, toujours ouvert au monde, à tout le monde, et à toutes les cultures. Nous te regrettons déjà,

  • Nathalie Rodach dit :

    Daniel, Bon voyage, occupe toi bien de toi.
    Afectueusement

  • Helene Clark (ex-Breyton) dit :

    Daniel a profondément marqué notre vie tant professionnelle (avec ce sacré bon coup de pouce du DESS !) que personnelle (c’est grâce à Daniel que je suis partie travailler un an à NYC chez Fox Lorber – année décisive où j’ai rencontré Chris, mon mari !) – Merci Daniel

  • Anne Robert dit :

    Heureux et Bon voyage à celui qui a compris avant tant d’autres que la fac devait préparer à la vraie vie. il l’a fait de façon flamboyante. Et je crois qu’il aimait ses élèves et voulait les voir heureux. Il allait très au delà du job. Merci.

  • Laurence Alvart dit :

    Cher Daniel

    la dernière fois que l’on s’est vu tous les 2 je t’ai invité à déjeuner et tu m’as avoué que j’avais mûri et tu m’as félicité
    je te remercie pour tout ce que tu m’as apporté, et pour ta gratitude

    mes plus sincères et affectueuses pensées à Edith, que je ne connais pas mais à qui je pense de tout mon coeur, ainsi qu’à ses proches.

  • Jerome Dutoit dit :

    Daniel, ce que nous a transmis est bien vivant.
    Je pense à ton état d’esprit, ton enthousiasme, à cette capacité à ne jamais dire non par principe …
    Le groupe que tu as formé en 1993 est toujours humainement aussi proche 20 ans après. C’est inestimable et peu d’hommes pourraient se prévaloir d’avoir bâti cela.
    Merci pour tout !

  • GENDRE Geraldine dit :

    Quand je pense à Daniel beaucoup de pensées, d’émotions, peu de mots mais pas les moindres : confiance et bienveillance.
    Je ne serais pas là où je suis s’il n’avait pas été le premier à croire en moi donc un dernier mot : Merci.

  • Mantoux Aymeric dit :

    Grâce à Daniel, j’ai rencontré celle qui est devenue ma femme et la mère de mes enfants ! Je dois tout à cet homme là… qui était également un redoutable entremetteur. Je me souviens d’ailleurs qu’il m’avait dit qu’on allait très bien ensemble. C’était bon, j’avais la bénédiction quasi-papale de Daniel je pouvais y aller. Daniel merci, tous mes encouragements à Edith dans cette épreuve.

  • Catherine Schöfer dit :

    Une salle de cours, septembre 1990, trois minutes pour convaincre. Le timing respecté à la seconde près et mes pieds posés à plat sur le sol sous le bureau (c’est toi qui me l’a rappelé) t’ont étonné, puis amusé puis convaincu. Mon côté allemand peut être…

    Tu m’a montré ma voie professionnelle, permis de rencontrer mes meilleures amies et même indirectement l’homme de ma vie. Ton regard juste, bienveilllant, stimulant m’ont fait grandir et trouver une place.

    Tu as toujours été là pour nous tous, et depuis hier, te connaissant, tu es encore là, un peu plus haut, à nous observer et à nous veiller, tendre et amusé. En tout cas c’est comme cela que je t’imagine.
    Amitiés à Edith.
    Merci
    Catherine

  • Wallaert- Kemoun Ingrid dit :

    Daniel, mes souvenirs sont nombreux et, quand je pense à toi, je souris !
    Après mes années à l’ESCP qui suivaient une prépa tendue, j’ai découvert l’université.
    Tu m’as acceptée en DESS de Droit alors que c’était une planète inconnue pour moi !
    Tu m’avais alors fait de grandes recommandations de lecture pour l’été …tout en supposant que je ne les suivrais peu ou pas…
    Tu avais aimé mon profil décalé à l’époque, j’avais été conquise par ta personnalité, ton audace à recruter dans la diversité des profils et ta vision : « l’université fait décoller les étudiants, le DESS doit les faire atterrir ! »
    Des années plus tard, me sachant en congé parental, tu m’as appelé et, l’air de rien, tu m’as dit : « Ingrid, tu as du temps, tu ne voudrais pas venir parler des métiers du conseil medias et de la publicité ? » Oui Daniel ! Tu savais mobiliser.
    Ton empathie et ta curiosité vont tellement nous manquer !
    Edith, je vous adresse toutes mes pensées de soutien et d’affection.

  • Dominique DOUEK dit :

    Dany a tiré sa révérence et nous laisse tous malheureux
    ce n’est pas un adieu mais juste un aurevoir, à bientôt Dany

  • Kiegel / Cécile dit :

    Daniel,

    Je me souviens de ma joie à l’annonce de mon admission dans cette formation que tout le monde désignait par votre nom, le fameux « DESS Sabatier », sésame qui m’ouvrirait les portes de l’audiovisuel.

    Je me souviens de votre clairvoyance quand nous discutions dans les couloirs du DESS, clairvoyance que je ne comprenais pas toujours à l’époque mais à laquelle je repense souvent depuis que j’ai un peu plus de « bouteille ».

    Je me souviens de votre enthousiasme à l’idée de notre projet fou (et qui a abouti !) d’aller au festival de Sundance.

    Je me souviens de votre humour, quand vous nous désigniez avec une camarade de promo, par le terme « les perruches ».

    Joie, clairvoyance, enthousiasme, humour c’est tout cela que je garderai de vous, pour très longtemps.
    Merci pour tout.

    Cécile

  • Cholet Gaëlle dit :

    Daniel,
    Merci d’avoir cru en moi, avant même que je sache qui j’étais.
    C’est un cadeau inestimable pour commencer dans la vie.
    Plein de pensées pour Edith …

  • Sophie BEST-PIERA dit :

    Une vision experte, critique et perspicace du monde du travail et plus particulièrement celui de l’audiovisuel, les meilleurs conseils aux meilleurs moments. En un clin d’œil, vous avez su cerner les forces et les faiblesses de chacun mais toujours avec la volonté de les renforcer.
    Merci pour tout Daniel

  • Caroline Dubourg dit :

    Cher Daniel:
    Au dela de la reconnaissance infinie que j’eprouve pour toi de m’avoir tendu la main et mis un bon coup de pied la ou il fallait pour que je me resaisisse professionnellement, d’avoir ete un coach disponible et attentif a mes questionnements professionnels et parfois personnels dans ton bureau de la rue des fosse st Jacques, (je me souviens que tu etais tres concerne par le fait que je me marie rapidement l’age avancant…  a l’epoque j’etais pas super convaincue par l’idee mais j’ai fini par suivre ton conseil!), je tiens a dire toute mon admiration et affection. Merci Daniel pour tout ce que tu as fais pour nous et toutes mes pensees a Edith et tes proches.

  • ERBSMAN EMMANUELLE dit :

    J’ai d’abord ce souvenir très lointain de Daniel m interrogeant pour un oral d’histoire du droit , petite étudiante tremblante devant tant de charisme et d’autorité puis plus tard au milieu de ses élèves dans cette minuscule salle du DESS ,virevoltant et curieux de tout .
    Je veux garder cette image d’un homme inspiré et inspirant.

  • Schierloh, Nathalie dit :

    Ma première rencontre avec Daniel: Je terminais mes études de droit en
    Allemagne et m’étais inscrite pour le DESS de Daniel. J’étais en pleine
    préparation pour l’orale de mon examen d’état. Mon téléphone sonne – c’était
    Daniel à l’appareil: « Bonjour, c’est Daniel Sabatier. Vous vous êtes
    inscrite pour le DESS Droit et administration de la communication
    audiovisuelle et je voulais vous poser une question: Avez-vous vraiment
    l’intention de travailler dans les médias? »
    « Oui, les médias m’intéressent, mais je ne peux pas vous garantir que je travaillerai définitivement dans les médias. Je suis plutôt dans une période
    d’orientation, une petite crise. »
    Daniel: « Pouvez-vous venir à Paris pour vous présenter? »
    « Malheureusement non, car je dois préparer l’oral de mon examen d’état. »
    Daniel trouvant toujours une solution: « Ah. Bon, alors vous allez vous présenter à un de mes anciens élèves, Ferdinand Kaiser. Il travaille pour Premiere à Hambourg. » Ce fut le début de ma carrière que Daniel a accompagné avec sa sagesse et ses histoires de la vie. Jusqu’à ce jour, je suis son conseil: « Les meilleurs entretiens ou négociations sont celles où l’autre a parlé et tu n’as presque rien dit. » J’ai eu la chance de le rencontrer.

  • Mathis / Eric dit :

    Merci Daniel pour m’avoir accepte au DESS.
    Merci Daniel pour m’avoir presente la Productrice qui m’a donne mon premier job dans l’industrie.
    Merci Daniel pour les qq moments de qualite passes ensembles.
    Merci Daniel pour une soiree au NATPE au debut des annees 90 ou tu m’a encourage a continuer une carriere a l’etranger.
    Merci Daniel pour ton exemple de generosite.
    Merci.

  • EBLING Frédéric dit :

    Cher Daniel, bienveillant, attentionné, souriant et toujours vigilant, tu es un HOMME de BONNE VOLONTE qui a éclairé ses étudiants, ses collègues…Tu as montré la voie…souvent loin des chemins battus, en toute audace et avec générosité.
    Nous te devons tant pour cet engagement collectif qui nous a fait grandir. Que cet engagement reste au coeur de chacun pour poursuivre l’oeuvre toujours en construction.
    Ici et ailleurs, tu vas poursuivre ta mission, j’en suis intimement convaincu.
    Frédéric

  • Laetitia Azoulay Zrihen dit :

    Merci a vous Daniel pour avoir cree et anime cette culture et vision du monde des medias et nous avoir tous accompagne et motive lors de tous les changements de l’industrie. Merci aussi pour votre ouverture d’esprit, ecoute et toutes les chances donnees.
    Amities

    Laetitia

  • Gasic Vladimir dit :

    Merci Daniel, tant de souvenirs me reviennent en mémoire… Condoléances sincères à Edith

  • Laurence Hamou Denoun dit :

    Tout simplement merci….. Merci pour ta passion et ton dévouement à ce DESS . Une autre vie commence pour toi…. j’en suis certaine. Je te la souhaite douce et paisible. Toutes mes condoléances à Edith

  • Hua stephane dit :

    MERCI Daniel pour ta générosité et tes précieux conseils.

  • Domehri/ Didar dit :

    Cher Daniel,
    C’est très douloureux de se dire que nous ne verrons plus votre sourire espiègle, et cette énergie incroyable qui se dégageait de vous.
    Quelle chance j’ai eu de croiser votre route. Ce qui est sure c’est que cela a changé ma vie.

    Didar Domehri

  • BILLE Delphine dit :

    Cher Daniel,
    J’ai toujours été très impressionnée de constater que 10, 15 ans après mon passage au DESS, lorsque nous nous croisions, vous connaissiez encore mon prénom et saviez où je travaillais. Je suis sûre qu’il en était de même pour tous vos « enfants » du Panthéon.
    Vous allez nous manquer.
    Je vais relire Lawrence Durrell et Albert Cossery en pensant à vous.
    Delphine

  • Marie-Anne Lebrec dit :

    Merci Daniel de m’avoir donné la chance de réaliser mon projet professionnel. Toujours à l’écoute de tes étudiants, jusqu’au bout, avec des conseils judicieux et chaleureux.

  • ANAIS BOUTON dit :

    Cher Daniel,
    Je me souviens de tes mots, de ton regard, pétillant, de ta curiosité.
    Je me souviens de ton intelligence des autres, de ta drôlerie, de ton immense culture.
    Je me souviens de ton humour et de tes voyages, de tes encouragements toujours, de tes colères parfois.
    Je me souviens que tu nous as fait repeindre nos salles de cours, pour nous apprendre à vivre. Et on a bien appris!
    Je me souviens d’Edith et de Pouchka.
    Je me souviens de ton domaine tout près de la Sorbonne.
    Je me souviens et je te remercie: je te dois en quelque sorte un petit bout de vie.
    Daniel, je t’embrasse où que tu sois.

  • Kornmann (Grosser) Anne dit :

    Daniel était une personne extraordinaire. Visionnaire et à l’écoute. Je lui serai toujours reconnaissante de m’avoir ouvert les portes de la grande famille du DESS non seulement pour les atouts professionnels indiscutables qu’il a pu ou peut encore m’apporter mais pour toutes les amitiés qu’il m’a permis de créer.
    Il va nous manquer à tous.
    Anne

  • negrier cecile dit :

    Cher Daniel,
    Que de bons souvenirs avec toi ! Une qualité d’écoute inégalée, une intuition hors pair, une grande générosité, et beaucoup d’espièglerie et de fous rires lorsque tu piquais du nez pendant les interventions des grands pontes ! Tu me répétais sans cesse  » alors, mais qu’est-ce que tu veux faire, toi ? » et de m’expliquer que ta plus grande fierté était que chacun de « tes enfants » puisse trouver son bonheur, qu’il passe par une brillante carrière ou une grande famille !
    Merci merci pour tes clins d’oeil complices, ta largesse d’esprit, ta confiance !

  • Isabelle Bertrand dit :

    Daniel,
    Merci, quelle chance nous avons eu de te croiser, une energie, une approche visionnaire des medias, ce sourire toujours petillant et cette tenacite nous garderons en memoire.
    merci pour tes conseils et ta confiance.
    Tu vas nous manquer mais nous conserverons l heritage que tu nous as laisse, cet esprit « DESS de Sabatier »
    Toutes mes condoleances a Edith.

  • Marie Dutheil dit :

    Un jour, quelques années après le DESS, tu m’as dit « Marie Dutheil (tu m’as toujours appelé Mariedutheil comme s’il s’agissait d’un seul mot), pour moi tu restes celle qui est partie voir les Gorilles au Rwanda alors qu’on te proposait de t’associer dans ton cabinet de conseil ». Tu m’as dit ces mots avec l’œil malicieux et le sourire en coin de celui qui approuvait « ce pas de côté », ce vent de liberté. Depuis, il y a eu bien d’autres pas de coté et à chaque fois, me revient cette image, ton expression et ton encouragement à être soi.
    Quelle chance nous avons eu de te connaître ! une très belle rencontre humaine, enrichissante, atypique et rare, de celles qui impriment la vie et l’âme.
    Et c’est grâce à toi encore que j’ai rencontré mes meilleurs amis d’aujourd’hui, anciens de promo, ça aussi c’est un formidable cadeau pour la vie !
    Pour tout cela, un très grand MERCI !
    Très affectueuses pensées à Edith et merci à Jérôme que tu as si bien choisi pour continuer à faire vivre l’esprit du Dess à travers le MédiaClub.

  • Riahi karine dit :

    Cher Daniel, le mot qui va pour toi c’est tu es un mensh.

  • Rispoli Luciano dit :

    Daniel,
    merci. Pour tout.
    De l’ami d’enfance de mon père, tu es devenu une figure importante de ma vie.
    Lorsque j’ai été en situation d’échec, peu de temps, mais assez pour susciter ton jugement définitif sur moi, tu m’as proposé de me faire entrer à Libé « comme garçon d’étage, pour t’occuper » disais-tu, puisque je « n’allais pas parvenir à faire quoi que ce soit de ma vie ».
    Comme souvent, tu as eu raison… 🙂

    Luciano

  • Nathalie Lemonnier dit :

    Cher Daniel,
    je garde un souvenir ému de notre rencontre fortuite à Soho alors que tu déjeunais en terrasse avec Edith tandis que je déambulais dans les rues de NYC.
    Une rencontre à ton image, toujours surprenant, inattendu.
    Tu as été une révélation dans mon parcours universitaire, j’ai apprécié ton originalité, ton franc parlé et ta vision si particulière de l’éducation. J’espère aujourd’hui apporter ce supplément d’âme à mes étudiants et cette envie, comme tu l’as fait auprès de toute une génération de passionnés de l’audiovisuel. Merci.
    Amitiés sincères Edith, il n’y pas de grand homme sans grande femme auprès de lui.
    (fin de l’oral « si vous ne me prenez pas cette année, je reviendrai l’année prochaine » je voulais faire le DESS Sabatier, et tu l’as bien compris)

  • Alessandri Philippe dit :

    J’ai beaucoup de très bons souvenirs avec Daniel : des débats passionnées autour de la formation (celle du DESS qu’il a créé puis celle du Conservatoire d’écriture qu’il a encouragé), des dîners à refaire le monde, une projection de diapos sur son voyage au Tibet, des cocktails où il présentait ses étudiants à tous les professionnels qu’il connaissait,…
    Mais c’est sans doute les moments que nous avons passé ensemble à Istanbul qui m’ont procurés les souvenirs les plus forts de ma relation avec Daniel. Dans cette ville qui rassemble l’Orient et Europe, Daniel m’a raconté son enfance en Egypte, son arrivée en France, sa première vie professionnelle dans l’entreprise, ses premiers contacts avec les « mandarins » de l’université,… J’ai connu Daniel à Paris mais je l’ai vraiment découvert à Istanbul. Et tout ce qu’il m’a raconté ce soir de novembre 1993 sur les bords du Bosphore résonnent encore en moi aujourd’hui.

  • ABRAVANEL NATHALIE dit :

    Les mots qui me viennent aujourd’hui seront pour évoquer nos échanges passionnés, amusés et complices sur l’Egypte, pays de sa naissance et celui de mes parents, les voyages avec l’Asie tout en haut, les objets fétiches et les chats! Ah, les chats…
    Que de belles choses pour accompagner tous ces souvenirs!

    Pour toujours…

  • Daniel, merci de ta sincérité, de ton enthousiasme en toutes circonstances et des tes conseils si avisés. Tes nombreuses anecdotes et les moments partagés avec toi et Edith resteront gravés dans nos mémoires.

  • Le Rhun-Gautier Ghislaine dit :

    Cher Daniel,
    J’ai eu la chance de faire partie de la 1ère promo 1982-83, celle qui a essuyé les plâtres-:) pas de salles, pas de profs, pas encore de taxe professionnelle, et pourtant nous ne sommes jamais autant investis, tu nous as donné l’ENVIE et cette envie je l’ai toujours aujourd’hui -30 ans après, grâçe à toi.
    Tu continueras de vivre dans mon cœur et dans mes pensées pour toujours
    Ghislaine

  • LAROCHE JOUBERT Alexia dit :

    Ta fougue, ton énergie, ton paternalisme va me manquer. Tu es le premier à avoir cru en moi en me prenant malgré mes résultats médiocres . Une fois reçue j’ai fait partie comme beaucoup d’autres de tes ouailles que tu protégeais envers et contre tous. En revanche tu n’as jamais hésité à nous motiver et même quelques fois nous molester pour donner le meilleur, je crois avoir de cet enseignement fait le meilleur usage et nous sommes tous des petites particules de toi.

  • Hémar Karin dit :

    Daniel,
    Un OVNI à la Sorbonne,
    rêveur et visionnaire,
    vif et attentif,
    ami et guide,
    Nous couvant, nous bousculant,
    nous laissant prendre notre envol, chacun à notre manière.
    Ce DESS, bien plus qu’une formation, c’était une sorte de rite de passage, un permis pour l’aventure.
    MERCI à cette figure, à ce penseur pragmatique, qui après, avoir longtemps cherché le pourquoi des choses nous disait « pourquoi pas ?! »

  • OLIVIER Pierre dit :

    Rien que pour t’avoir écouté raconter ta jeunesse au lycée avec Claude François de ta voix chantante et malicieuse, je me sens privilégié d’avoir croisé ton chemin. Ce qui a changé le mien. Merci.

  • Jerome Chouraqui dit :

    Daniel, tu étais potache, tu étais lourd parfois, mais génial tout le temps… Le plus grand nez de l’audiovisuel, le trotskiste devenu comptable pour hériter d’un DESS d’audiovisuel alors que tu n’avais pas la télé chez toi.

    Quand je suis entré au DESS, je t’ai parlé de mes projets d’entrepreneur, tu as hébergé ma société contre la réparation de tes ordinateurs. Résultat, j’ai développé 5 sociétés depuis et je crée la 6eme aujourd’hui.

    Tes conseils, ton humour, l’affection que te portaient tes « enfants » m’ont rendu admiratif. Entretenir ton oeuvre était simplement naturel. Le médiaClub, c’est aujourd’hui la continuité de ce que tu as construit et c’est une grande partie de ma vie.

    Merci Daniel, je n’ai pas d’autre mot plus fort. Merci.

  • Bianchini Fanny dit :

    Pour moi, Daniel Sabatier reste associé à la première partie de ma vie professionnelle passée dans l’audiovisuel.
    Depuis ma reconversion, même si je le voyais très peu, je suis restée indirectement en contact avec lui grâce à la grande famille des « anciens du DESS ».
    C’est une personne qui m’aura marquée à la fois par son extravagance et son authenticité.
    Pour toutes ces raisons, je ne l’oublierai pas.

  • Bianchini Fanny dit :

    Pour moi, Daniel Sabatier reste associé à la première partie de ma vie professionnelle passée dans l’audiovisuel.
    Depuis ma reconversion, même si je le voyais très peu, je suis restée indirectement en contact avec lui grâce à la grande famille des “anciens du DESS”.
    C’est une personne qui m’aura marquée à la fois par son extravagance et son authenticité.
    Pour toutes ces raisons, je ne l’oublierai pas.

  • Anonyme dit :

    Tu avais coutume de dire que nous étions un peu tous comme tes enfants
    Depuis hier ,ta famille , nombreuse est triste
    Tu étais un Mensch Daniel

  • sylvain Kern dit :

    Tu avais coutume de dire que nous étions un peu tous comme tes enfants
    Ce soir ta famille, nombreuse ,est triste
    Tu étais un Mensch Daniel

  • Metz Hugo dit :

    Un jour je suis rentré dans ton bureau. On ne se connaissait pas bien. Mais les mots que tu as prononcé ce jour là resteront gravés dans ma mémoire. Ils m’ont donné confiance en moi. Mon projet n’était plus vraiment le mien. Il était le notre.
    Sans toi, je ne serais pas qui je suis aujourd’hui. Et je ne suis pas un cas isolé. Loin de là. Tellement loin de là.
    Je t’embrasse. Où que tu sois. Merci Daniel.

  • Grès Thierry dit :

    Mon cher Dany,

    Depuis que tu nous as quittés, j’ai tellement de souvenirs qui me reviennent.Ils sont tellement présents.

    Je n’oublierai jamais tous ces moments passés ensemble,
    Je n’oublierai jamais nos longs échanges sur la vie, le bonheur, sur tout et sur rien.
    Je n’oublierai jamais ton humour, ta façon de raconter des blagues et des histoires.

    Tu m’as beaucoup appris.
    Tu m’as conseillé,
    Tu m’as compris,

    Tu vas me manquer Dany, tu me manques déjà…

    Edith, je t’embrasse et sois assurée de toute mon affection et de tout mon fidèle soutien.

  • Matsis Katina dit :

    Tu nous avais dit à l’époque , vous êtes tous un peu mes enfants.
    Et tu avais raison , tu as réussi à créer une grande famille.
    Merci Daniel .

  • Je rends hommage à Daniel, un homme généreux, volubile, sociable, créatif, qui avait introduit un vent de fantaisie et une atmosphère festive à l’Université, tout en respectant les chambranles et les portiques. Beaucoup d’entre nous penseront sans doute plus à lui qu’à d’autres en passant devant le Panthéon.

  • Estève Fabrice dit :

    Foutraque. Génial. Insupportable. Adorable. Imprévisible. Calculateur. Sensible. Autoritaire. Adorable. Généreux. Paranoiaque. Paternaliste. Visionnaire. Excentrique. Cultivé. Politique. Poète. Fin. Lourd parfois Déconnecté technophobe. Connecté comme personne. Je n’ai que des contraires qui me viennent à l’esprit, et pourtant ce qui est le plus frappant c’est la cohérence de ce que tu as construit, celle d’une grande famille qui attend avec impatience ta prochaine carte postale. Même si c’est chacun, chacune de nous qui l’écrira. J’espère qu’il fait beau là où tu es. Je t’embrasse. Merci.

    PS : il paraitrait qu’à l’Elysée on se demande qui faire entrer au Panthéon. Toi tu y étais déjà, d’un côté et de l’autre de la rue Soufflot. Tu es pour nous tous sous le dôme. A Daniel les enfants du DESS reconnaissants. Et merci à Edith pour nous avoir permis de profiter de toi ainsi.

  • Harel Jean-Christophe dit :

    Toutes mes condoléances à la famille de Daniel ainsi qu’à la grande famille de professionnels de l’audiovisuels qu’il a réussi à construire au fil des années.

    Chapeau l’artiste et un grand merci pour ton soutien sans faille au fil de toutes ces années. Et que de souvenirs inoubliables …

    C’est un grand homme qui disparaît. Certainement « one of a kind ».

    Bien affectueusement,

    Jean-Christophe Harel
    (Los Angeles)

  • Casanova Cecile dit :

    Cher Daniel,
    Lors de notre première rencontre, en 1995, vous m’aviez dit : ‘Vous ne vous ressemblez pas.’ Près de 20 ans plus tard, j’utilise toujours cette même photographie pour mon profil professionnel, et ne suis pas sure d’avoir jamais trouvé mon identité. Votre justesse et votre humanité, voilà ce dont je me souviens.
    Vous disiez: ‘Une fois que l’on sait écrire, lire et compter. On sait tout’. Vous croyiez à l’expérience de terrain et au réseau. Le DESS était unique, atypique, et fut si formateur.
    Je vous exprime aujourd’hui ma profonde gratitude,
    Cecile

  • Debeurme Henri dit :

    Il y a 10 ans presque jour pour jour, je finissais mes études de Droit en sachant pertinemment que je ne voulais pas devenir juriste. Je n’avais choisi cette filière que pour avoir plus de temps pour développer mes activités parallèles de jeune producteur amateur. Seulement, je ne connaissais personne du métier, je vendais des chaussures à Montreuil pour payer mes études, et je ne voyais qu’un seul moyen pour m’en sortir : rentrer au « Dess de Sabatier ».
    J’avais donc envoyé mon dossier, et passé tous les tests et entretiens. Jusqu’à ce matin où il fallait se connecter sur le site du Dess pour connaître la liste des 25 élèves sélectionnés. Après avoir actualisé la page internet au moins 200 fois ce matin-là, je découvrais que je n’étais pas dans cette liste…
    C’était l’année où une nouvelle équipe dirigeante reprenait le Dess pour l’orienter vers une voie plus juridique et où surtout Daniel avait dû partager le recrutement avec d’autres décideurs. Mon profil « atypique » avait sans doute dû les effrayer. J’étais dépité, face à mon ordinateur de jeune juriste et à mes collègues à qui j’avais déjà dit en fanfaronnant que si j’étais pris je les quitterais…

    La rentrée du Dess s’est donc passée sans moi. Puis, un coup de téléphone à mon bureau : « si vous pouvez être à la gare de Lyon demain matin à 9h pour partir faire le week-end d’integration, vous intégrer le Dess ». J’ai immédiatement démissionné.
    La suite, c’est l’année qui a sans doute été le tournant dans ma vie, celle où j’ai réussi à m’orienter vers le metier de mes rêves, celle où j’ai rencontré certains de mes meilleurs amis d’aujourd’hui, celle où Daniel n’a cessé de me guider et de me conseiller, celle où j’ai noué avec lui une relation que je n’oublierai jamais.

    J’ai su plus tard que c’est Daniel qui s’est battu pour que je puisse intégrer le Dess car il n’était pas d’accord avec mon éviction.

    Daniel, tu es tout simplement la première personne a avoir cru en moi. Avant moi-même ! Jamais je ne pourrais te remercier assez d’avoir parié sur moi, de m’avoir écouté, compris, bousculé. Tu m’as donné confiance, tu m’as fait grandir, tu m’as rendu meilleur. Je te dois tant.

    Alors « écoute Coco, vas-voir le Bon Dieu, dis-lui que tu viens de notre part à tous, et tu peux être sûr qu’il va bien t’accueillir ».

    Merci Daniel.
    Henri

  • Brule Carine dit :

    J’ai rencontre Daniel dans le cadre d’un stage: c’est lui qui a decide que ma place était dans son DESS. Il me disait: « tu es quelqu’un de complique, mais ta grande force c’est que tu es tenace ». Il a toujours ete la pour moi. J’aimais Daniel et sa douceur, sa fantaisie, Daniel, Edith et leur chat capable d’ouvrir seul la porte du frigo. Ce chat qu’il fallait garder pendant les grands et beaux voyages. Daniel est l’une de ces quelques personnes qui ont change ma vie, et pour cela je lui en serai eternellement reconnaissante.

  • Nicolas Brigaud-Robert dit :

    Il y a 23 ans Daniel me recevait dans son bureau chez lui et m’encourageait à faire le DESS. Mon emploi du temps rendait les choses compliquées. Daniel me dit qu’il allait trouver une solution. Il prétendra avoir créer « l’équipe du soir » à cette occasion. Je ne l’ai jamais vraiment cru mais ce qui est certain c’est que Daniel avait de l’ambition pour les autres. Et je fais partie de ceux qui lui doivent beaucoup.
    Même longtemps après le DESS, devant mes angoisses de rédaction de thésard, Daniel était là pour dédramatiser l’exercice, « absurde » disait-il, me faisant rire aux larmes avec le récit des péripéties de son propre doctorat, cherchant tout à la fois à me dissuader de devenir prof tout en approuvant ce devoir de curiosité et de transmission qui m’animait et qui, lui, ne l’a jamais quitté. A chaque rentrée universitaire, lorsque je découvre mes nouveaux étudiants, je pense à toi Daniel, à cette excitation juvénile qui te parcourait face à tes nouvelles recrues, à cet enthousiasme que tu avais de savoir que tu partais avec eux pour une nouvelle aventure. Pour m’avoir montré le sens de cette passion et illustré de manière aussi exemplaire qu’elle pouvait résister au temps je te dis aussi à jamais merci.

  • Flicker Charbit Josette dit :

    Daniel, ton depart me touche profondement.
    Tu avais le meme accent, la meme chaleur et generosite que mes parents. Un amour et un besoin de donner que tous les juifs d’Egypte partagent.
    Tu as su touche tant de vies avec une grace, une legerete et un instinct hors du commun. Tu ne t’ai jamais pris au serieux. Tu as donne en t’amusant avec le plus grand plaisir de nous voir grandir. Tu es le pere d’une immense famille et je souhaite que cet accomplissement et cette fierete t’accompagneront dans ton eternite.
    Toutes mes condoleances a Edith.

  • Caroline Dupuy dit :

    Un enseignement à garder de Daniel Sabatier : PRO-FI-TEZ !
    Sacré réussite et merci pour les rencontres de notre DESS
    Et pour l’anecdote , j’ai toujours mes cheveux de folle , mais , non, je ne me suis pas mariée en province avec 4 enfants 😉 C’est l’autre pari de Daniel qui s’est réalisé

  • Maillard Christine dit :

    Un immense MERCI Daniel.
    Merci de nous avoir donné notre chance : je me souviens du stress avant l’entretien d’entrée. Ferais-je partie des 30 heureux élus? Tu nous impressionnais déjà…
    Merci de nous avoir donné des ailes pour affronter ce monde impitoyable des médias.
    Merci pour ton écoute, tes conseils avisés, ton regard bienveillant, ton humour et tes leçons de vie si précieuses.
    Tu vas nous manquer.

  • Christian Poinso dit :

    Pour avoir fréquenté les bancs de Paris X et IV avant d’atterrir à Paris I, je m’amusai de l’aspect iconoclaste de cette formation, enfant espiègle de la Sorbonne. Le DESS a été une bouffée d’oxygène au début de ma carrière et comme beaucoup, j’y ai fait de très belles rencontres. 12 ans après nous continuons à nous voir avec plaisir et nous te devons d’avoir su nous choisir et créé les conditions de l’alchimie. Merci Daniel.

  • Marant Alexis dit :

    Les nombreux témoignages qui s’accumulent ici sont autant de preuves de l’amour et de la reconnaissance que nous avons envers toi Daniel. Tu étais vraiment un universitaire hors du commun, par ton humanité, ta malice, ta bienveillance, ton sens du réseau, et bien d’autres choses encore.
    Pourvu qu’au Paradis tes compagnons puissent avoir la chance de profiter de toutes tes qualités ainsi que de ta bonté d’âme !

    Bonne route vers le ciel,

    Alexis

  • Dubruel /Armand dit :

    Merci Daniel pour cette belle leçon de vie que tu as offerte à toutes ces générations d’étudiants passionnées par les médias.
    Ton humanisme, ta jeunesse et ta finesse d’esprit resteront à jamais gravés dans ma mémoire.
    Toutes mes mes pensées affectueuses à ton épouse et à tes proches.
    Tu nous manqueras

  • Claire Saint Laurent Mantoux dit :

    je lève mon verre à toi, rencontre fondamentale dans ma vie
    « fais ce que tu aimes – n’accepte jamais de t’ennuyer  »
    « libère ta parole et maquille toi les yeux 😉 »
    Daniel, je ne t’oublierai pas.
    tu restes avec nous en pensées.
    Claire

  • Azoulay sabrina dit :

    Daniel, ta bienveillance, ta curiosité et tes yeux rieurs m ‘ont accompagnés depuis de longues années. J’ai aimé notre rencontre et la relation si particulière que tu installais avec ceux que tu aimais, ton coté un peu sorcier, toujours convaincu pour deux lorsque je doutais, allant toujours de l’avant, et sachant rire de tout. Tu resteras dans mon coeur . Merci Daniel . Pensées affectueuses pour Edith

  • DES ARCIS Christophe dit :

    Daniel avait gardé la fraicheur et la curiosité de l’enfance. Il vous donnait rapidement l’impression que vous étiez son meilleur ami, sans calcul ni artifice. Quelqu’un de rare!

  • Anonyme dit :

    In memoriam de Prague comme je ne pourrais être présent a Paris mais souvenir donc de nos rencontres il y a déjà plus de 20 ans lors d’interventions au Dess et surtout en dehors dont une des dernières lors de la parution du livre hommage…in memoriam donc puisque Daniel latiniste a l’origine fut un pionnier courageux de la veritable médiation / transmission ,et nous manque déjà !
    Kristian

  • Auzat-Bonassi Maud dit :

    Cher Daniel, je suis fière d’avoir fait partie des « petits « derniers », cette dernière « promo Sabatier »…tout comme d’autres bien avant moi, vous m’avez harangué à base de « Bonassi ! » dans les couloirs…J’ai aimé me « rebeller » contre vous tout en essayant de décrypter les messages que vous vouliez me faire passer …!
    Merci de nous avoir « portés » tout au long de ces années, vous pouvez être fier du résultat…vous êtes à jamais parmi nous, tous ces « enfants » qui vous doivent tant.
    Affectueuses pensées à Edith.

  • BRY-HASCOET Nathalie dit :

    Notre 1ère rencontre en 84: tu me fais passer un oral d’histoire du droit en 1ère année. 5 ans plus tard, je te retrouve au concours d’entrée du DESS. Tu t’en ai souvenu. Merci Daniel pour tes conseils, ta franchise, ta générosité, ton humanité. Tu nous manques déjà.

  • HAPPERT-SAVIGNONI Catherine dit :

    Merci Daniel pour ta bienveillance, ta générosité et ton soutien indéfectible.
    Tu as réussi à bousculer l’université en créant avec succès un DESS hors normes qui m’a ouvert les portes du secteur l’audiovisuel.
    Je pense souvent à ton œil qui pétille, ta silhouette d’éternel adolescent, et ta vision de la vie. Tu m’as répété souvent « fais ce que tu aimes » et « tu dois avoir une vision globale de la vie, trouver ton propre équilibre ». J’applique depuis 25 ans ces conseils avisés.
    Toutes mes sincères et amicales pensées à Edith.

  • Yaël Wolmark dit :

    Toutes mes condoléances à Edith et à toute cette grande famille que nous sommes.
    Comme tu me le disais souvent. « …regardes au loin »,
    Ton regard ne nous quittera pas.
    Salut l’Artiste.

  • Sophie Soulignac dit :

    Daniel en quelques mots : l’enthousiasme, l’amour de la bonne chère, l’oeil qui pétille, la colère noire, l’amour fou pour son métier, ses ouailles, son épouse. Il a tracé le début de route de nombre d’entre nous.
    Où que vous soyez, je vous salue bien bas et vous embrasse.

  • Julien Favre dit :

    Daniel, tu etais comme mon pere et tu me manques
    Tu as ete le premier a croire en moi
    Tu es parti mais tu seras toujours dans mon coeur

  • Bucher Iris dit :

    Il n’y avait pas que le DESS, il y avait aussi ces deux années où ton bureau était juste à côté du mien, rue des Fossés Saint Jacques. Tellement de moments partagés, et les dîners chez toi avec Edith à qui je pense en ce moment douloureux. Pour toi, j’étais l’Allemande, tout simplement, il fallait tout m’expliquer, mettre le pied à l’étrier. Quelle chance de t’avoir connu. Nous sommes très nombreux à te devoir beaucoup, beaucoup. Merci Daniel, pour ton extraordinaire générosité.

  • Volle Pascal dit :

    Daniel Sabatier est l’illustration de la valeur contructive de l’ambition, de l’enthousiasme et de la loyaute. En etant son etudiant et pour bien des annees apres, j’ai appris a contenir mon scepticisme et a prendre des risques. Plus de vingt ans plus tard, il ne me reste peu des cours de droit du DESS, mais Daniel a su m’inculquer up peu de sa confiance en soi et beaucoup de sa curiosite et de son appetit.

    Un vrai professeur de vie, Je lui suis profondemment reconnaissant.

  • Lussato Frédéric dit :

    Je garderai toujours le souvenir d’un homme formidablement intelligent, subtil et psychologue, qui voyait en nous ce que nous ne pouvions ou voulions pas toujours voir, qui parfois se trompait mais le plus souvent avait raison avant les autres. Daniel a, pas à pas, créé une famille et les nombreux messages que l’on peut lire ici en sont la preuve : malgré les années, les liens qu’il a créés, entre nous, avec le DESS et avec lui sont les plus solides des liens !
    Toutes mes condoléances à Edith.

  • Kathleen dit :

    Merci Daniel pour ta bienveillance et ton écoute chaque fois que nous nous voyions. Beaucoup d’anciens étudiants se souviendront très émus comme moi des discussions dans ton bureau à refaire le monde, à parler de voyages et d’histoire…
    Je me souviens de tes yeux qui pétillaient toujours, de ton humour et de ta gentillesse. Tu me demandais souvent comment était la nouvelle génération et quels étaient nos rêves de jeunes étudiants, pour nous conseiller et nous aider à les réaliser.
    Je garde en mémoire un dernier très beau souvenir de toi, à discuter et à rire avec Edith, Sylvie et Jérôme que j’ai eu la chance de connaître grâce à toi. Des moments qui m’ont manqués et qui me manqueront beaucoup.

    Toutes mes plus sincères condoléances à Edith.

  • Frédéric Guégan dit :

    J’en avais déjà conscience, mais je réalise encore plus depuis ces deux derniers jours quel privilège j’ai eu de pouvoir croiser une personne (voire un personnage) aussi exceptionnelle que Daniel. Exceptionnel par son parcours, par son approche et sa vision de l’enseignement, mais aussi par son immense humanité et son affection infinie pour ses ‘disciples’, ses protégés, ses étudiants. Un amour qui allait bien au-delà d’une simple scolarité puisque Daniel savait toujours se rendre disponible pour aider, conseiller ou même juste échanger.

    Que de bons souvenirs des années DESS, comme étudiant tout d’abord, puis l’année suivante en me laissant occuper un des bureaux de la rue Jean Calvin pour réaliser une mission pour un grand diffuseur. Parce que Daniel avait toujours une bonne idée, toujours une solution, aussi peu académique soit-elle :-), toujours un mot positif, drôle, intelligent et malin.

    Comme beaucoup d’entre vous et comme toi Christophe notamment, je me retrouve aussi dans les longues discussions dans son bureau, à parler de tout, de rien, de la vie, du monde du travail, de ses expériences et innombrables anecdotes. Et cette façon de crier le nom de ses étudiants dans le couloir du DESS (« le nom de famille, c’est ce qu’il faut retenir. Il faut que l’on sache que tu es ‘Guégan’, ‘Frédéric’ c’est moi important », m’avait-il dit, à peu de choses près, alors que je lui proposais de m’appeler Frédéric comme tout le monde).

    Visionnaire, pragmatique, intuitif, amoureux des gens, de l’échange, astucieux, audacieux, opiniâtre, fin psychologue qui savait vous comprendre et bien vous connaître en finalement peu de temps, incroyablement drôle et d’une humanité devenue presque anachronique, les mots sont nombreux pour ne serait-ce que tenter de le décrire.

    En tout cas, une chose est sûre, c’est que son héritage, sa mémoire, sa philosophie (pour ne pas dire son esprit) sont bien là et vont continuer à perdurer et à se développer au travers du mediaClub (encore une de ses initiatives, accompagné de Jérôme notamment…).

    Plusieurs ‘générations’ de professionnels des médias et de la communication au sens large peuvent le remercier. Il ne devait pas être peu fier de cet énorme réussite, celle d’avoir mis le pied à l’étrier à bon nombre d’entre nous dans un secteur incroyable, passionnant, mais aussi difficile et parfois ingrat.

    Moi je dis ‘pas mal’ pour quelqu’un qui ne connaissait soit-disant rien à l’audiovisuel 🙂

    Au revoir Daniel, je ne suis pas prêt de vous oublier… et on est un certain nombre dans ce cas…

    Bravo et merci pour tout !

  • Denis Isabelle dit :

    Tous ces messages sont autant de témoignages de qui etait Daniel et de ce qu’il a réalisé au fil de chaque promotion et de nos passages respectifs par le DESS.
    Il est parti riche de tout cela, après nous avoir chacun enrichi au moins autant.
    Merci Daniel, et bravo.

  • Poncet Chrystel dit :

    Cher Daniel,
    Je n’ai pas eu la chance de beaucoup vous connaître, non je n’ai pas eu cette chance là. Je me souviens des rares fois, de votre généreux esprit qui m’a immédiatement adopté, de votre certain regard qui m’a conforté dans mes idées. Vous étiez une respiration, un espoir de résistance, un catapulteur d’énergies positives, un précieux original. Vous allez beaucoup manquer à l’humanité. Toutes mes condoléances à votre épouse, vos proches et vos proches enfants de l’audiovisuel. Bon voyage Daniel. Et merci, merci pour tout.

  • voyelle dit :

    Ce soir je lis tous ces témoignages émus. Je crois rêver. Tes paroles remontent à la surface, font écho. Ricochet .Tout est là.
    T’es un sacré bonhomme, Daniel, avec cette façon bien à toi de nous faire comprendre que l’on ne comprend rien…on finira bien par comprendre et te donner raison, va!
    Ce soir la tempête s’est calmée et l’aube est proche où nous allons à nouveau croiser ton chemin.
    L’air est plus vif. Nous allons nous revoir, orphelins. Et nous pourrons repartir sous ta bénédiction, dans la bonne direction.

    Adieu camarade. Et merci.

  • Tatiana Werner dit :

    Daniel merci pour ton « aiguillage » qui a changé ma vie, pour tes conseils avisés, « Dans un couple, un juif, ça suffit », bienvaillants, » Pour toi, c’est compliqué, mais moi, je sais que ce sera simple », pour tes encouragements, ton humour, l’incroyable promo 2000 et la force que tu nous a donnée à tous. Aurevoir Daniel, tu vas nous manquer. Gros baisers à Edith.

  • Sandis Florence dit :

    Daniel, tu me parlais souvent, avec émotion, de l’Egypte où, comme toi, mon père avait vécu. Tu voyais en chacun d’entre nous l’humain bien avant l’étudiant, et c’est probablement ce qui te donnait tant de perspicacité et de générosité.
    Tu m’avais permis de rejoindre le DESS au mois de novembre car pour toi, finir un stage de création de chaîne était bien plus important que de vulgaires cours de fac, et trouver un job bien plus précieux que de passer le diplôme…
    Tu ne connaissais rien à la télé mais tu en avais compris l’essentiel au point de faire de ta formation à l’intitulé incertain le must le plus apprécié du secteur…
    Et tu m’as offert le plus joli des cadeaux : des amis chers et fidèles.
    Tu étais tout cela à mes yeux : humain, iconoclaste, intuitif, chaleureux…

    Difficile de se résoudre à partir à tes obsèques ce matin tellement tu restes et resteras si vivant pour nous tous… A travers le MediaClub bien sûr, mais également dans le coeur et la vie de chacun d’entre nous…

    Bon voyage de l’autre côté du Nil…

  • HENRIOT Pierre dit :

    Un regard toujours curieux sur un monde dont il semblait suffrire d’explorer les possibilités, une ouverture d’esprit rare et de tous instants, et bien sûr aussi une disponibilité, pour ne pas dire bienveillance de principe envers tous, voilà en quelques mots ce qu’évoque pour moi la mémoire de Daniel Sabatier.
    Il faudra

  • HENRIOT Pierre dit :

    Un regard toujours curieux sur un monde dont il semblait suffrire d’explorer les possibilités, une ouverture d’esprit rare et de tous instants, et bien sûr aussi une disponibilité, pour ne pas dire bienveillance de principe envers tous, voilà en quelques mots ce qu’évoque pour moi la mémoire de Daniel Sabatier.
    Il faudrait qu’il y ait plus de Daniels Sabatier sur cette terre, et je me joins à tous ceux qui témoignent aujourd’hui qu’ils lui doivent indubitablement quelque chose.

  • Monjour Erick dit :

    C’est la bonne humeur et cet air coquin qui reste dans mes souvenirs quand je pense à toi. Tu aimais te voir comme un papa d’une famille très nombreuse, un patriarche devrais-je dire.
    Là où tu es, tu continues à nous suivre du regard et cet idée fait du bien.
    Profites bien de cette nouvelle aventure et continue à nous soutenir.

  • Alice Cohen dit :

    il me reste…
    un voyage à Sundance,
    certains de mes meilleurs amis,
    une vie pro heureuse
    des conseils plus qu’avisés,
    un regard rieur, une pensée aiguisée caché parfois sous un air distrait et une bienveillance constante.
    Tous ces moments ou ces rencontres, je te les dois, ou que tu sois. Merci pour tout ce que tu as été. Alice

  • Le Prado Yann dit :

    Daniel,
    On ne se connaissait pas vraiment. Mais le DESS que j’ai suivi en 2003/2005 « de nuit », comme on disait, n’a toujours été pour nous tous que le « DESS SABATIER ».
    C’est ainsi que je l’appelais avant d’y entrer, c’est toujours ainsi que je le nomme quand je dois en parler.
    J’y ai rencontré des amis, des professionnels passionnés et passionnants, tous porteurs et passeurs d’un esprit assez indéfinissable mais pourtant reconnaissable : celui que vous y avez insufflé, fondé sur un affectio societatis qui vous tenait je crois très à cœur.
    Et qu’il nous revient désormais de continuer à transmettre avec si possible la même passion, la même exigence, la même ouverture à l’autre.
    Merci Daniel.

  • Barry / Eva dit :

    Merci Daniel, d’avoir été si ouvert d’esprit, si généreux, si curieux et d’avoir toujours eu cette envie et capacité de nous comprendre vraiment. Merci de m’avoir ouvert la voie vers un parcours que je ne pouvais même pas encore imaginer à l’époque.

    Avec toute mon affection pour cet homme exceptionnel.

    Et mes sincères condoléances à Edith et à ses proches.

  • BURIN - MAGNAN natalie dit :

    Je me souviens d’un homme joyeux, et passionné qui a été visionnaire sur la nécessité de doter l’université d’une formation digne de ce nom pour les métiers de l’audiovisuel

    je suis fier d’avoir pu être étudiante en 1992 de ce DESS et je lui en suis reconnaissante

    j’adresse toutes mes condoléance à ses proches

  • Sophie Rohou dit :

    Il y a peu de rencontres qui vous réjouissent à jamais et le vide est bien présent à l’annonce d’une si triste nouvelle.

    Merci Daniel de m’avoir intégrée à ta grande famille…

  • klotz thomas dit :

    Des relations par toujours simples. Un nom qui ne s’oublie pas. Un homme comme on en croise si peu.

  • GANIER-RAYMOND Nathalie dit :

    Trente en après, le souvenir est intact : d’abord la douceur de sa voix avec du soleil dedans et un léger chuintement et l’épreuve d’histoire du droit que j’avais passée devant lui sur le Concordat , le seul sujet que j’avais révisé, et les plâtres essuyés de ce premier DESS , bricolé et génial.
    Une année irremplaçable , une fenêtre ouverte.

  • Muriel Guidoni Deregnaucourt dit :

    Cher Daniel,
    Je me souviens comme si c’était hier de notre rencontre à la Sorbonne. J’avais 21 ans. J’ai en mémoire gravés ton regard rieur, ton énergie, ton humour, la qualité de ton écoute, cette façon que tu avais de nous mettre en confiance et de nous donner confiance. Tu as décelé ce que j’ignorais moi même de mes forces et de mes faiblesses, de « mon potentiel » selon tes propres mots, tu m’as guidée avec une immense gentillesse, en me faisant parfois comprendre que ce qui était bon pour moi professionnellement n’était pas nécessairement ce que j’avais imaginé. Nous nous sommes vus régulièrement ensuite, toujours depuis jusqu’à mon départ pour les Etats-Unis. Tu as toujours été là pour te réjouir de chacun de mes mouvements professionnels, de ce qui m’arrivait personnellement de bien aussi, comme mon mariage et la naissance des enfants. Un immense merci à toi – et je sais que tu m’entends – pour toute cette générosité. C’est un cadeau incroyable de rencontrer quelqu’un comme toi, a 20 ans, lorsqu’on est plein de doutes et d’envies, pas toujours compatibles, plein d’énergie a canaliser dans la bonne direction. Un immense merci pour ce que tu as donné à chacun d’entre nous. Toutes mes condoléances chère Edith. Nous l’aimons tellement !

  • ROUCHY Stéphane dit :

    Bonsoir Daniel,

    Comme les Dieux ne semblent pas avoir ta sagesse, tu devrait bien les faire tourner en bourrique 🙂
    N’oublie pas de me donner de tes nouvelles.

    Je t’embrasse fort

    Stéphane

  • ROUCHY Stéphane dit :

    Tu devrais, avec un s, pardon…

  • Thierry Reisch - GD du Luxembourg dit :

    En lisant ces nombreux messages d’anciens étudiants du DESS on se remémore ce personnage qui en fin de compte était pour nous tous un héros.

    Chère Madame Sabatier, vous êtes certainement très fière de Daniel.

    Moi aussi je suis fier, fier de l’avoir connu car il a aussi pour moi été à l’origine d’une formidable destinée.

    Adieu Daniel, tu nous manqueras.

  • Grollemund Marie-Christine dit :

    Daniel, tu m’as fait l’honneur de me demander d’etre l’un de tes intervenants au tout debut du DESS.
    Ce fut une experience exceptionnelle faite de grande affection , mais aussi de vraies lecons de vie ( personnelle et professionnelle) pour tous.
    Grace a toi j’ai appris a me remettre en cause.
    Tu as ete un grand humaniste et un sage qui savait etre fou. Vous formiez avec Edith un couple hors du commun et des amis hors pair.
    Tu es toujours la present dans nos coeurs et nos esprits. Nous ne pourrons jamais t’oublier.

    Edith , je suis desolee d’habiter aussi loin desormais et de ne pouvoir te serrer dans mes bras. Je t’embrasse tres fort et te remercie pour les si bons moments passes ensemble.

  • Tordjman Harry dit :

    Juste Merci Daniel.

  • ZAMECZKOWSKI Laurent dit :

    Daniel, ton départ est une terrible nouvelle. Tu laisses derrière toi de nombreux orphelins. C’est la perte du mentor voir du père pour tous ceux qui ont eu la chance de croiser ton chemin et que tu as largement influencé dans le meilleur sens qui soit. Tu es responsable de ce que nous sommes devenus.

    Ce dernier voyage est un voyage de libération qui te conduira, j’en suis convaincu vers de belles et nouvelles aventures ou tu pourras exercer de nouveau ton art. j’en ai l’intime conviction et pourtant je ne suis pas religieux mais ta mémoire m’inspire comme l’homme que tu es m’avait déjà inspiré dès mon jeune âge. Tu vivras à tout jamais dans nos mémoires, dans ce que nous sommes et dans la pérennisation de ton action. Alors encore une fois un grand merci Daniel.

  • Stéphane Guerry dit :

    Merci Daniel,

    merci d’avoir cru en nous, quelques fous qui, en 96, voulaient faire de l’Internet quand les autres rêvaient de télé et de cinéma,

    merci de m’avoir tiré de ce DESS, commencé la même année à Dauphine, qui voulait me convaincre que le minitel était génial et qu’Internet ne servirait jamais qu’à s’échanger des images pornos,

    merci de m’avoir permis d’essayer aujourd’hui de changer la communication et la publicité de l’intérieur.

    Je n’oublie pas

  • Benhamou Sandra dit :

    Toutes mes condoleances a Edith et toute la famille. Je garderai toujours dans mon coeur une tres beau souvenir de Daniel…

  • Pierre EMAILLE dit :

    Mon « message » … (un peu tard donc)

    (ça te fera certainement sourire que je sois en retard … mais tu seras de toutes façons content que je pointe le nez – et qu’enfin, je te tutoie … Alors voilà, je le pointe)

    Daniel,

    Puisque je m’adresse à vous – et que j’ai toujours tenu entre nous, à ce vouvoiement précieux, teinté de reconnaissance et d’affection – c’est de votre bienveillance dont je parlerai en premier, jumelée à votre curiosité insatiable des êtres et des pays (cf. les pyramides de diapos dans votre bureau !!).

    Il y a aussi votre pragmatisme, parfois totalement déconcertant … et votre générosité qui l’est tout autant.

    Votre fantaisie pas toujours assumée mais tellement drôle et décalée – d’aucun parleront d’espièglerie ou de l’air goguenard d’un œil parfois farouche, c’est selon.

    Et puis, et puis … votre volubilité bien sûr et cet enthousiasme de premier communiant, tellement communicatif – et que vous avez tellement su communiquer justement.

    Difficile de taire par ailleurs ce don absolument unique de réunir envers et contre tous, des talents tellement différents, que nul autre que vous n’aurait pu faire … !

    Et puis enfin, votre fidélité et la qualité de votre écoute (grand paradoxe d’un impatient patenté), toutes deux, oh combien précieuses …

    Et puis vos chats 😀

    Et puis Edith bien sûr … (très chère Edith, vous avez dû en voir des vertes et des pas mûres :D)

    Alors, voilà Daniel, merci pour tout cela,

    Merci de faire partie de ma vie, vous êtes loin d’en être sorti (forcément)

    Bien à vous,

    Et toute ma sympathie à Edith,

    p

  • GRYNER Vanessa dit :

    Je me souviendrai toujours de la bienveillance et du temps que Daniel accordait à chacun d’entre nous pour nous aider à trouver notre voie.

    Mon expérience au DESS a juste été géniale.

    C’était un précurseur.

    Alors j’ai surtout un mot qui me vient à l’esprit: MERCI

    Sincères pensées à sa femme, sa famille et tous ceux qui l’aimaient (et ils sont nombreux!).

  • Stalins Carolyn dit :

    Il y a bien des années maintenant – lors de mon DESS – tu m’avais permis de concilier mon travail et ma passion pour l’aventure. Pendant les examens de fin d’année tu avais accepté que je parte en Nouvelle Calédonie pour participer au Raide Gauloise. Tu avais été jusqu’à organiser a mon retour des examens de rattrapage pour moi… Je repense souvent à cette histoire – peu de personnes auraient eu ta réaction. La passion faisait partie de ta vie et tu as su la transmettre aux autres. Un très grand merci pour cette leçon essentielle de vie. Tres respectueusement et tres fidelement, Carolyn

  • Marianne Lecomte dit :

    Je me souviens de l’appel de Daniel « j’ai trouvé LE boulot pour toi : du droit, mais pas de contrat, que du terrain…  » Et il avait raison ! Dire en plus que dans son cheptel se trouvait celui qui partage ma vie…
    Alors bon voyage Daniel et toutes nos pensées à Edith

  • ROUSSEAU Jane dit :

    J’étais passée par mon magasin de bricolage préféré avant d’arriver au premier cours de la première session de la première année de ce DESS. J’avais des grands tuyaux sous le bras ; je les ai déposé dans le coin de la salle et je me suis assise. Cette entrée incongrue est restée gravée et Daniel m’en parlait à chaque rencontre, année après année. Normal : il avait conçu un lieu de communication et d’échanges de tuyaux…

  • Mouly Matthieu dit :

    Daniel, que de souvenir, que de moments importants. que d’échange, que d’écoute, que de liens ….

    Une façon d’appréhender sa vie professionnelle de façon un peu différente, une culture de la relation et des échanges, une ouverture toujours sur les gens et leurs projets. L’écoute avant tout, la disponibilité aussi, l’ouverture et l’attention portées aux individus. Des qualités que tu as toujours su partager et que tu as laissé éclore autour de toi.

    J’ai quitté l’audiovisuel il y a déjà quelques temps, mais je garde tout cela, tous les jours dans ma vie de boulot.

    Comme quoi, ce que tu nous a offert à tous ne se limitait pas à une industrie!

    Je garde pour toujours ces quelques règles d’or non écrites, sagesse de la relation humain et professionnelle que tu nous as transmises.

    Je garde aussi l’impression d’avoir derrière celle ci un conseiller avisé et attentif, qui me rappelle que tout ça, c’est avant tout des gens, et que rien n’est jamais plus loin qu’on coup de fil, une rencontre ou un déjeuner.

    Alors merci de m’avoir offert cela, de nous l’avoir offert à tous.

    Merci Daniel.

  • Dahan Yoël dit :

    Je me souviens de ce mois de septembre et de ce jury d’entretien du DESS qui me déboute en première instance. Je me souviens de ma colère et de mon incompréhension. Et je me souviens de toi, Daniel, qui accepte de me recevoir et de m’écouter crier à l’injustice dans les couloirs de la Sorbonne.
    A la fin de l’entretien tu m’as calmé et tu m’as dit: « je vais te trouver du boulot ».
    A la fin des sélections, dont j’étais exclu, tu m’a admis au DESS.
    A la fin du mois tu m’as trouvé un appartement et une bourse.
    A la fin de l’année tu m’as trouvé un travail…
    Tu as su changer ma colère en confiance, tu m’as appris la décence et la force de l’imagination. Tu m’as montré que l’humanisme n’était pas qu’une valeur abstraite mais un indispensable guide de vie.
    Je te dois beaucoup Daniel, merci pour ta générosité, et surtout merci pour l’inspiration.
    Courage Edith, Daniel vit en chacun d’entre nous.
    A coeur vaillant rien d’impossible, je n’oublierai pas.
    Y

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